Un été à No Damn Good
Un été à No Damn Good
Petrowski, Nathalie  
  • Éditeur : Boréal
  • Collection : Littérature
  • EAN : 9782764624340
  • Code Dimedia : B0009240
  • Format : Broché
  • Thème(s) : GÉOGRAPHIE & TOURISME, LITTÉRATURE - FICTION & ESSAI, SCIENCES HUMAINES & SOCIALES
  • Sujet(s) : Adolescence, Littérature québécoise, Montréal
  • Pages : 288
  • Prix : 22,95 $
  • Paru le 7 avril 2016
  • Plus d'informations...
EAN: 9782764624340

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Échos de la presse

« Un roman pétillant qui se déroule en 1971 et qui raconte un été de grands bouleversements dans la vie de Nora P., 14 ans. »
Josée Lapointe – La Presse +
[Entrevue]
 
« La mort tragique du chanteur des Doors, certes, mais aussi la crise d’Octobre, le nationalisme, les luttes féministes et autres événements marquants des années 70 qui sont réellement survenus ont aussi servi de toile de fond à ce remarquable portrait d’époque qui a pour témoin une narratrice à la fois candide et entêtée. »
Claudia Larochelle – Les Libraires
[Entrevue]

« De la montée du féminisme à l’apparition des drogues douces, l’auteur nous offre un portrait sensible d’une période charnière. »
Laurie Dupont – Véro
 
Autres entrevues
[Puisqu’il faut se lever (98,5 FM)]
[Médium large (RC)]
[Gravel le matin (RC)]

« Nathalie Petrowski a un sens du punch et de l’humour qui transparaissent dans ses romans. »
Catherine Gaudreault – 106,9 FM/Que la Mauricie se lève
[Entrevue]
 
« L'auteure a développé un solide sens de l'image pour toucher ou pour évoquer la période. Elle maîtrise aussi l'art du punch. Ses chapitres sont courts, rythmés et proposent des chutes bien tournées, comme autant de fondus au noir ou de changements de plans.  À l'instar de Nora qui découvre la mort mais aussi, et surtout, le monde et elle-même, la plume de Nathalie Petrowski se gorge d'une sève adolescente, vibrante de vie envers et contre tout. »
Valérie Lessard – Le Droit
[Critique]
 
« Nathalie Petrowski signe un roman d’apprentissage bouillonnant. Un été à No Damn Good revisite le Québec du début des années 1970 par l’intermédiaire d’une adolescente. Ce va-et-vient astucieux entre le regard distancié et le regard collé aux événements s’avère une grande réussite du point de vue narratif. Ça coule, c’est vivant, d’autant qu’on est proche du langage parlé, comme si on entendait une voix. Une voix double : tantôt mature, amusée, tantôt adolescente, intense. »
Danielle Laurin – Le Devoir
[Critique]
 
« Ce livre, on le vit, on l’entend, on le goûte. Et il attise une certaine nostalgie de cette période-là. »
Jhade Montpetit – Radio-Canada/Les malins plaisirs
[Entrevue]

[Critique au Téléjournal 18 h (RC)]

« J’ai eu beaucoup de plaisir à lire ce livre. Un beau retour dans le temps. »
Doris Larouche- Radio-Canada/Café, boulot, dodo
[Entrevue]
 
« Un roman réjouissant. »
Line Boily – Radio-Canada/L’heure de pointe Toronto
[Entrevue]
 
« Nathalie Petrowski est une très belle portraitiste. On est en plein dans les années 1970. C’est toutes les grandes crises sociales du Québec vues à travers les yeux de Nora, mais c’est aussi toute l’histoire de l’abandon. Un roman qui m’a donné un plaisir de lecture. Nathalie Petrowski sait écrire. Elle a une écriture vive, dynamique, punchée. »
Patricia Powers – Radio-Canada/Chez nous le matin
[Critique]

« Un roman fort efficace ! Un style vivant. Une lecture estivale qui se lit d’une traite. »
Marie-Pierre Roy-Carbonneau – Radio-Canada/C’est pas trop tôt en Estrie
[Entrevue]
 
« Avec sensibilité, humour et son talent de conteuse, sa sensibilité et son humour, [Nathalie Petrowski] réinvente un été chaud à Notre-Dame-de-Grâce sur fond d’émeutes du FLQ, de mouvements féministes et de divorces à gogo. »
Mireille Villeneuve – Flèche Mag

« Plus de vingt ans se sont écoulés entre Maman Last Call, le second roman de Nathalie Petrowski, et son tout dernier, Un été à No Damn Good. Rien ne garantissait des retrouvailles heureuses, mais la romancière, scénariste et journaliste se trouve en pleine possession de ses moyens. Le style imagé qu'elle déploie dans sa nouvelle oeuvre épice un récit ponctué de moments tendres, drôles et dramatiques. »
Jean-François Gagnon - La Tribune
[Entrevue]

« C’est vraiment bon, c’est rafraîchissant. Nathalie Petrowski a le sens du punch, un humour savoureux. »
Anik Moulin – Radio-Canada/Le Téléjournal Extra (Estrie)

« Avec sensibilité, humour et son talent de conteuse, [Nathalie Petrowski] réinvente un été chaud à Notre-Dame-de-Grâce sur fond d’émeutes du FLQ, de mouvements féministes et de divorces à gogo. »
Mireille Villeneuve – Flèche Magazine

« Le ton, l’humour, l’écriture, le charme de l’époque, tout est là pour nous séduire. Un récit plein de rebondissements et d’esprit.»
Mario Girard – La Presse +
 
« Très dynamique, l'écriture de Nathalie Petrowski est pleine d'images et de références.
Par son style et parce qu'il se laisse dévorer sans cérémonie, Un été à No Damn Good fera un bon compagnon de lecture pendant les vacances. Comme moi, plusieurs baby-boomers se reconnaîtront dans l'ouvrage. Quant aux plus jeunes, ils profiteront d'un cours d'histoire accéléré mais divertissant. »
Jean François Tardif - Le Soleil
 
« Grâce à la plume de Petrowski, l'adolescente dont l'histoire est racontée, Nora, jette un regard à la fois amusant et lucide sur le monde qui l'entoure. Il faut reconnaître à l'auteur, aussi scénariste à ses heures, une grande capacité à faire apparaître de savoureuses images dans la tête du lecteur. »
Jean-François Chicoine - La Tribune
 
« C’est très agréable. On est vraiment dans la tête d’une adolescente. Nathalie Petrowski a vraiment réussi son pari. On suit Nora jusqu’à la fin avec beaucoup d’intérêt. »
Chrystine Brouillet – TVA/Salut Bonjour


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