Nageuse au milieu du lac (La)
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« Le romancier de Sherbrooke aime provoquer les rencontres. Dans le contrepoint, il trouve sa musique. Il cherche et trouve l’harmonie qui " s’impose comme une évidence ". Son humour est toujours là. Distancié aussi, grinçant. Mais La nageuse évite les écueils de l’ironie et de l’autofiction, malgré le " je " et l’inspiration puisée dans sa vraie vie. La nageuse est aussi un livre sur la perte de mémoire individuelle et collective, sur notre époque qui génère de l’oubli. Et le vide qui sépare les générations face au savoir, au désir d’apprendre. »
Mario Cloutier – La Presse +
[Entrevue]
« Malgré sa pudeur, malgré sa vigilance face à l'émotion toute nue, Patrick Nicol s'autorise quelques vrais moments de pure beauté. »
Dominic Tardif – La Tribune
[Entrevue]
« Patrick Nicol revient en force avec La nageuse au milieu du lac. Le sujet n’est pas nouveau. Combien d’essais, de fictions, de récits, de témoignages troublants sur la descente aux enfers des parents en fin de vie, méconnaissables, sans repères, devenus les enfants de leurs enfants ? Tout est une question d’approche, de ton, d’écriture, bien sûr. Patrick Nicol pratique l’économie des mots, affectionne l’ellipse. Et privilégie l’interférence du passé dans le présent. La mémoire, les souvenirs, l’enfance : son terrain de jeu. »
Danielle Laurin – Le Devoir
[Entrevue à Plus on est de fous, plus on lit (RC)]
« Il y a beaucoup de vérités dans ce livre, de cynisme aussi. »
Réjean Blais – Radio-Canada/Écoutez l’Estrie
[Entrevue]
« Un récit d’une rare sensibilité, où tous ceux dont un parent souffre d’alzheimer se trouveront en terrain trop familier. »
Martine Desjardins – L’actualité
« Patrick Nicol aborde la douloureuse perte de la mère. Il le fait par fragments, dans une écriture douce et précise, entrecroisant la chronique de ses sentiments, de ses souvenirs, de ses rêves et ce qu’il reste de sa vie quotidienne, alors que tout son être est dirigé vers la fin de cette vie qui a présidé à la sienne. Un roman tendre et triste. »
Pascale Milot – Montréal Centre-Ville
« Patrick Nicol tisse un récit intime qui se présente comme un album hommage, exempt de mièvrerie. »
Danielle Laurin – Le Devoir
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