Testament
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« L'écriture fragmentée de Testament alterne entre le journal intime de la narratrice et les voix de ses amis qui reçoivent ses écrits posthumes. L'expérience est sans concessions, brutale quand on s'y attend le moins. »
Chantal Guy – La Presse
[Entrevue]
« C’est une des histoires les plus touchantes qu’il m’ait été donné d’entendre dans le milieu littéraire québécois des dernières années. Un premier roman écrit dans l’urgence. Il n’y a pas de pudeur, de censure ici. C’est lucide, c’est franc, c’est aussi vrai que candide par moments. C’est plein d’amour en même temps pour cette vie qui s’en va. Il n’y a pas de haine, pas de hargne. Une voix authentique, singulière. Une littérature coup de poing. Une œuvre importante. »
Claudia Larochelle – 98,5 FM/On aura tout vue
[Critique]
« Un livre que nous avons beaucoup aimé. »
Marie-Louise Arsenault – Plus on est de fous, plus on lit
[Entrevue]
« Un livre coup de poing. Un livre fascinant. Elle écrit tellement bien, mais c’est brutal, vulgaire, poétique tout à la fois. C’est une mise à nu totale. Il y a quelque chose de fort, de puissant dans l’écriture. Je vous le recommande. »
Patricia Tadros – Radio-Canada/Première heure
[Critique]
« Elle écrit à tue-tête, son premier roman est un vrai testament. Elle a véritablement un réel talent d’écriture. Une écriture crue et directe. Une langue qui peut être rugueuse, mais aussi une prose poétique. »
Guy A. Lepage – Radio-Canada/Tout le monde en parle
[Entrevue]
« Ce livre a de remarquables qualités littéraires. Malgré ses imperfections. Qu’il a sa propre logique, une logique métaphorique, aux motifs récurrents. Qu’il comporte des illuminations, des images fracassantes. Je suis en train de dire que je souhaite lire encore et encore Vickie Gendreau. »
Danielle Laurin – Le Devoir
« Beaucoup de furie dans le premier roman de cette talentueuse auteure de 23 ans, atteinte d’un cancer du cerveau incurable. Une autofiction trash qui rentre dedans, qui secoue le lecteur. Ce livre est en fait le journal intime de Vickie, une ancienne danseuse nue, entrecoupé de poésie et de témoignages d’amis qui lisent ses écrits posthumes. Troublant. »
Hugo Dumas – La Presse
« Dans ce premier roman d’autofiction au style explosif, hanté par l’urgence, la jeune femme ne met pas de gants blancs : elle aborde sa maladie, sa vie de danseuse nue et le viol qu’elle a subi, tout en mettant en scène sa mort et la réaction de ses amis à celle-ci. C’est un exercice périlleux, d’une approche assez dure, qui ne nous laisse pas indifférent. »
Lisanne Rheault-Leblanc – 7 jours
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