Table des autres (La)
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« C’est un livre au-delà de tout, je n’ai pas de mots. C’est poétique, c’est envoûtant, c’est enchanteur, c’est remarquable ! »
Jean Fugère – Radio-Canada/Plus on est de fous, plus on lit
[Critique à 40 :35 minute]
« Un roman de passage de la préadolescence à l’âge d’homme. Michael Ondaatje a visiblement beaucoup puisé dans ses souvenirs. C’est un roman formidable. J’ai pris un plaisir très grand à le lire. C’est très joliment traduit. »
René Homier-Roy – Radio-Canada/C’est bien meilleur le matin
[Critique]
« D’une pudique sensualité, d’une émotion en demi-teintes, La table des autres navigue en douceur à travers les époques, ajoutant tantôt au mystère se déroulant à bord, scellant tantôt avec une pointe de nostalgie le sort des compagnons de route. »
Manon Dumais – Voir
[Critique]
« La table des autres porte aussi un regard sur les adultes d'une fraîcheur inouïe, qui est l'empreinte d'un écrivain au sommet de sa maturité. »
Martine Desjardins – L’actualité
«…chavirant. »
Karine Vilder – Journal de Montréal
[Critique]
« En soi, ce récit d’apprentissage est touchant, drôle par moments, surprenant. En soi, le séjour sur le paquebot nous révèle un monde fascinant. Mais il y a plus, beaucoup plus dans ce roman. Il y a la voix du narrateur… Du grand Michael Ondaatje. »
Danielle Laurin – Elle Québec
« Roman d’initiation, gros plan sur le moment même de l’immigration, critique de l’impact que peuvent avoir les décisions bancales des adultes sur les enfants, voilà La table des autres. »
Catherine Lalonde – Le Devoir
[Entrevue]
« Une écriture lumineuse qui restitue la vie quotidienne sur ce paquebot. »
Monique Roy – Châtelaine
[Livre du mois]
« Michael Ondaatje sait transformer et forger le territoire des souvenirs dans une fiction magique nourrie par son parcours d'immigrant. La table des autres est une reconstitution poétique de sa propre traversée solitaire, à 11 ans, de Colombo à Londres. »
Sylvie St-Jacques – La Presse
[Entrevue]
[Critique]
« Une fois encore, Ondaatje scrute le grand écart culturel et l’exil. Avec son écriture impressionniste, il nous fabrique par petites touches le récit d’un monde perdu. […] Une exploration semi-autobiographique subtile du passage obligé hors de l’enfance.»
Christian Desmeules – Le Devoir
« Michael Ondaatje découpe habilement son roman en courts chapitres, telles des cartes postales, visant à camper les personnages, à présenter les lieux et les événements survenus lors de la traversée, et depuis. En faisant cohabiter ainsi hier et aujourd’hui, Michael enfant et Michael homme, il immerge le lecteur dans son intrigue. »
Valérie Lessard – Le Droit
« C’est un livre absolument merveilleux. C’est un roman initiatique avec des moments très drôles et d’autres très tendres. C’est remarquablement bien écrit. »
Danielle Laurin – ARTV/La liste
« Un roman ravissant. C’est empreint d’une certaine profondeur, d’une certaine réflexion. Un livre dont l’excellence mérite d’être soulignée. Quelle belle écriture et quelle belle traduction ! »
Anne Michaud – Radio-Canada/Bernier et cie
[Critique]
« Se basant sur ses souvenirs, Ondaatje nous propose un roman rempli autant de rebondissements que de fines réflexions sur l’âme humaine. »
Coup de pouce
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