Léon, Coco et Mulligan
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« On retrouve dans Léon, Coco et Mulligan cette Montréal crade, celui des junkies et des clochards. Les affres de l’ambition, l’amitié masculine, la marginalité malheureuse… […] Tout y est, mais le ton a changé. L’auteur délaisse d’ailleurs le « je » après 20 ans d’écriture, signant un livre à la troisième personne. » Jade Bérubé - La Presse Pour lire l’entrevue « Il y a de belles envolées… Des images fortes, des trouvailles d’écriture qui frôlent le génie. Il y a quelques scène-chocs, aussi. » Danielle Laurin - Le Devoir Pour lire la critique
« Christian Mistral nous revient en force avec un roman de dérive urbaine aux accents sauvagement poétiques. » Maxime Catellier – Ici Pour lire l’entrevue « Un roman court, nerveux et punché, qui agit comme un entonnoir, précipitant la tragédie, et qui réserve au lecteur une chute à tout casser. » Tristan Malavoy-Racine – Voir Pour lire l’entrevue Pour écouter l’entrevue à Radio-Canada/Christiane Charette
« … une hymne à l’amitié masculine, à la marginalité et à l’écriture dans un carré Saint-Louis pas mal plus rough que celui d’aujourd’hui. » Claudia Larochelle - Journal de Montréal « Un livre fort, intelligent, bouleversant, écrit par un romancier qui a touché le fond et maîtrise son art, sa langue, comme jamais. C'est le livre qui annonce, vers la fin surtout, le Mistral nouveau qu'on attend. » Danielle Laurin – Radio-Canada/Arts et spectacles
« L’histoire de la complicité entre un auteur qui publiera un jour et un schizophrène attachant, avec comme toile de fond le Carré Saint-Louis des années 80. » Pour écouter l’entrevue à Radio-Canada/Vous m’en lirez tant à le 9e min.
« Court dans sa forme, mais dense dans les émotions et les thèmes qu’il aborde – création, amitié, ambition -, ce roman dans lequel l’auteur délaisse le « je » confirme l’immense sensibilité de Christian Mistral, sa capacité à faire surgir de la saleté du béton et du macadam des êtres attachants, vrais. » Valérie Gaudreau - Le Soleil
« Plus que tout, Montréal est mis en scène, le secteur du carré Saint-Louis. Il en fait un personnage qui respire, vibre et séduit. Comme si la ville accueillait les éclopés et les protégeait à sa façon. C’est ce qui rend ce court roman fort attachant.» Yvon Paré - Le Quotidien
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