Tête de mon père (La)
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« Unstyle intempestif, quelque peu déjanté et plein d'humour. »
Chantal Guy – La Presse
[Entrevue]
« La fin est merveilleuse. Cette longue lettre, qui n’est pas longue du tout, il faut la lire. »
Lorraine Pintal
Radio-Canada/Vous m’en lirez tant
[Entrevue à 2 :20 minute]
« C’est un très beau récit. Il y a une nostalgie dans ce livre-là qui nous prend à la gorge. Il n’y a pas un mot de trop
Jean Barbe
« C’est très efficace. Il y a beaucoup de tendresse et d’humanité. Il y a aussi une critique de la société, de l’ironie. »
Pascale Navarro
Le club de lecture à Bazzo. TV (Télé-Québec)
« C’est un très beau récit. Il y a une nostalgie dans ce livre-là qui nous prend à la gorge. Il n’y a pas un mot de trop
Jean Barbe
« C’est très efficace. Il y a beaucoup de tendresse et d’humanité. Il y a aussi une critique de la société, de l’ironie. »
Pascale Navarro
Le club de lecture à Bazzo. TV (Télé-Québec)
« C'est sans en avoir l'air que le récit se déploie, nous empoigne, nous séduit, nous émeut. Dans le roman La Tête de mon père, c'est particulièrement réussi. On entre dans ce livre par une petite porte, qui nous conduit à une autre porte, et ainsi de suite. »
Danielle Laurin – Le Devoir
[Critique]
« Elena Botchorichvili nous amène directement en Géorgie. On sent combien ses racines sont fortes et importantes. C’est un vrai dépaysement. Elle remet en question, toujours avec humour, la version nord-américaine du vilain communisme soviétique. »
Aude Jimenez
Radio-Canada International/Tam Tam Canada
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