Espèces
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« Ce faux roman regorge de phrases sensibles, dressant le portrait d'une époque où dominent l'individualisme, le repli sur soi et la peur de l'aliénation, les autres n'étant désirables qu'en tant que « tentative d'expansion de son petit ego ». » Marielle Bedek – La Presse
« Suffit de soulever les couches de sa délicate écriture pour voir, béante, son ironie mordante. Dans Espèces, la lucide Ying Chen pousse loin, jusqu’à l’absurde, les règles qui régissent notre existence. On termine le livre chaviré. » Claudia Larochelle – Ruefrontenac.com [Entrevue] « On reconnaît tout de suite la signature toute personnelle de Ying Chen. Cette sobriété, cette distance. Cette intelligence certaine. Et cette part de mystère qui plane. La véritable surprise, le revirement, le nœud de l'histoire, arrivent à la toute fin. On n'en dévoilera rien, mais c'est tout à fait savoureux. » Danielle Laurin – Le Devoir « C’est vraiment magnifique. » Lorraine PintalRadio-Canada/Vous m’en lirez tant [Entrevue à la 13e minute]
« Ying Chen propose un constat amer, pessimiste. Une véritable charge contre les valeurs modernes, contre l’individualisme triomphant et contre l’inhumaine humanité. Élégante, sobre et efficace, l’écriture de Ying Chen captive toujours autant.» Dominique Lemieux – Le Libraire [Entrevue] « Curieux sujet que celui-là, que Ying Chen aborde avec une plume diablement ironique. Un propos qui fait sourire parfois, mais qui peut aussi laisser perplexe la page suivante. Ceci dit, qu’on adhère ou pas à sa pensée, il n’en demeure pas moins que la réflexion est là. » Linda Corbo – Le Nouvelliste
« Une écriture tout en douceur permet à l’auteure de s’attaquer à des thèmes aussi crus que la castration, l’indifférence, l’égoïsme ou encore la paresse. Après la dureté de son précédent roman et le sentiment d’échec qui engluait son héroïne, ce nouveau récit pend des airs d’intermède rédempteur. Prenant. » Fabienne Papin - Primeurs
« Un roman dépouillé et cruel où on reconnaît bien la griffe de Ying Chen. » Danielle Laurin – Elle Québec
« Quel amoureux des chats n'a jamais rêvé d'échanger son existence remplie de devoirs et d'obligations contre la langueur et la parfaite insouciance de son animal favori ? C'est ce fantasme courant qu'a entrepris de matérialiser Ying Chen dans un nouveau et très beau roman. » Éric Paquin – Voir [Critique] « Une vraie originalité de la part de Ying Chen. Elle a un regard très critique sur les humains. C’est un roman philosophique qui nous amène à réfléchir sur l’espèce humaine et en ce sens, c’est très intéressant. » Aude JiminezRadio-Canada/Tam Tam Canada « Avec sa plume ironique et ses phrases incisives, l’auteure explore les règles humaines. » Danielle Desbiens – Échos Vedettes
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