Chez les deux pieds sans plumes
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« Ce sont des proses, des pensées tellement poétiques. J’aime les œuvres de Pierre Morency. C’est un livre sur les gens ! »
Hugues Corriveau – Plus on est de fous, plus on lit (RC)
« Avec Chez les deux pieds sans plumes, Pierre Morency glisse en quelque sorte, dans les mains de son public, un objet qui cerne et pointe précisément les travers et les défauts de l’Homme comme ses plus beaux côtés. »
Léa Harvey – Le Soleil
[Entrevue]
« Sous forme d’un inventaire qui n’est pas sans évoquer la tendresse d’un Jacques Prévert, le poète amoureux des oiseaux entreprend l’écriture de son " carnet de gens ". Dans une prose poétique, il fait ainsi défiler ces " deux pieds sans plumes " à coups de brèves descriptions tour à tour justes, attentives, amusantes, moqueuses, curieuses, émouvantes, inventives. »
Manon Dumais - Le Devoir
« Un livre précieux que je garde sous la main pour l’ouvrir une fois ou deux par jour, dans un moment de répit pour y pêcher une phrase, une image qui implose en moi. »
Yvon Paré – Blogue Littérature du Québec
[Critique]
« Quelque part entre la poésie, l’aphorisme, le mot d’esprit et la sociologie du dimanche, Pierre Morency recense, un fragment à la fois, " les gens qui se sentent riches de ce qu’ils ont donné ", " les gens qui, au détour de l’âge, ont commencé à éprouver cette détresse devant la porte qui va se refermer "… Un petit livre sans pareil empruntant la forme d’une liste fascinée de tous les types de gens qui ont croisé sa route.
Dominic Tardif – La Presse +
[Entrevue]
« Un ouvrage doux, voire même philosophique, qui porte pourtant beaucoup d’humour. Grand écrivain, passionné des mots et fidèle lecteur du dictionnaire, Pierre Morency s’amuse ici visiblement avec les sons, les rimes et les sens de différents termes. Sans oublier ses dessins qu’il glisse entre les pages qui nous font voyager au cœur de nos imaginaires. »
Léa Harvey – Le Soleil
« J’ai adoré ce petit livre que je vais relire et conserver pas loin, comme un chapelet poétique de gens plus ou moins fréquentables. Comme un garde-folle. »
Josée Blanchette – Le Devoir
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