Droit d'être rebelle (Le)
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« Dans une très belle langue, les frères et sœurs correspondent avec passion, causent littérature, liens familiaux, et petits détails du quotidien. Leurs échanges sont brillants et vifs. Le ton est empreint de respect et de tendresse. Chaque membre de la famille incarne à sa façon un archétype de son époque et de la société québécoise. On referme le livre en se disant que la famille Ferron est un véritable trésor patrimonial. »
Nathalie Collard – La Presse +
« Voici un livre parfaitement délicieux. Le droit d’être rebelle, c’est une partie de plaisir à six, les cinq membres du clan Ferron plus le lecteur. Au moins trois Ferron ont marqué le Québec moderne: Marcelle, par sa peinture, Madeleine (mariée à Robert Cliche) et Jacques, qui ont enrichi notre patrimoine littéraire. »
Jacques Lanctôt – Journal de Montréal
[Critique]
« Ce fascinant roman épistolaire nous fait pénétrer dans l’univers artistique, politique et littéraire de la famille Ferron. »
Ariane Labrèche – 24h
« C’est par la correspondance jusqu’alors inédite de Marcelle avec sa fratrie qu’on découvre l’humour taquin et la petite histoire de cette famille exceptionnelle, ainsi que le caractère irréductible d’une artiste qui ne fit jamais ni concessions ni compromis en ce qui avait trait à son art. Un livre à ranger au rayon des classiques des lettres québécoises. »
Martine Desjardins – L’actualité
« Babalou Hamelin déterre par les lettres de Jacques, Marcelle et les autres les racines d’une identité. »
Michel Lapierre – Le Devoir
[Critique]
« Cette correspondance de la peintre Marcelle Ferron avec les membres de sa famille est un véritable coffre au trésor. […] Ce recueil est un document précieux, plus pertinent qu’une biographie classique. Il respire l’authenticité du début à la fin. »
Mario Girard – La Presse +
[Critique]
« Quel pur bonheur de lecture. On sent une liberté, une fièvre, une affection, une intimité qui nous colmatent l’intérieur, nous font prendre la mesure entre ce Québec fougueux qui sortait à peine des crucifix, la Grande noirceur et le long chemin vers l’affranchissement. »
Josée Blanchette – Le Devoir
« Un ouvrage formidable. C’est un immense plaisir à lire. »
Josée Boileau – Radio VM/Culture à la carte
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