Traduit du coréen par Jeong Eun-Jin et Jacques Batilliot.
 
Par l’auteur coréen le plus connu, le plus traduit en français et à l’étranger, et le plus adapté au cinéma.
 
En Corée du Sud, dans les années soixante. Chun et son ami Inho abandonnent les cours pour vivre dans une grotte puis faire une grande virée dans leur pays encore marqué par l’occupation japonaise et la guerre. De retour à Séoul, ils reprennent leurs études, forment un cénacle avec leur nouvel ami, le peintre Chang Mu, se retrouvent tous au café Mozart.  Puis Chun et Mia entament une relation amoureuse qui les entraîne vers l’île de Cheju.
 
Arrêté pour avoir manifesté, Chun est envoyé en prison. Il y rencontre « Lieutenant » avec qui il part travailler sur des chantiers et en mer. C’est alors qu’il découvre, par une belle nuit, l’« étoile du chien qui attend son repas », autrement dit Vénus. Le retour sur terre est marqué par l’appel sous les drapeaux.
 
Ainsi ce beau périple initiatique à plusieurs voix, où s’entremêlent premières amitiés et amours, recherche spirituelle, aspiration à la liberté, se termine avec ironie par le départ pour le Vietnam du principal narrateur, enrôlé pour cette guerre américaine qui n’est pas la sienne.
 
L’Étoile du chien qui attend son repas est un roman d’apprentissage polyphonique, largement autobiographique, sur la jeunesse coréenne des années soixante, mais également sur celle de tous les adolescents de tous les pays. Il s’est vendu en Corée à plus d’un million d’exemplaires.

NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.