Quand on n'ose plus rien dire
Quand on n'ose plus rien dire
De peur de passer pour un réac
Keller, Thierry  
  • Éditeur : Aube (de L')
  • Collection : Monde en cours
  • EAN : 9782815954075
  • Format : Broché
  • Pages : 288
  • Prix : 36,95 $
  • Paru le 26 février 2024

Cancel culture, chasse aux sorcières, wokisme : comment répondre aux nouveaux inquisiteurs... tout en restant de gauche?

xpos annulées sous la pression de militants radicaux, auteurs de BD cancellés, colloques impossibles à tenir au motif que les intervenants seraient « problématiques ». Il se passe quelque chose de nauséabond dans le monde des idées : de nouveaux censeurs, pour la plupart venus de la gauche, édictent des fatwas à l’encontre de celles et ceux qui ne pensent pas « comme il faut ». Avant, la censure venait des ligues de vertu ou de l’extrême-droite. Aujourd’hui, c’est du camp opposé que vient l’interdiction. Les gens n’osent plus rien dire par peur de se faire traiter de réac’, de transphobe, de raciste ou autre joyeuseté. Mieux vaut se taire, selon eux, mais c’est là que les ennuis démarrent... Œuvres et artistes « cancellés », raids militants pour faire taire les voix raisonnables : il règne une nouvelle ambiance de chasse aux sorcières qui tétanise les progressistes. Genre, racisme, relations hommes-femmes, écologie : depuis quelques années, les progressistes rasent les murs de peur de passer pour des fachos dès lors qu’ils refusent d’expier leurs « fautes » en public. À bas l’omertà! Quand la gauche est prise en otage par les radicaux, c’est l’extrême-droite qui se frotte les mains.

Comment sortir de la censure et de l’autocensure? Un livre pour réfléchir et trouver le courage de répondre.

AUTEUR(S)

Thierry Keller, 51 ans, a milité et travaillé toute sa jeunesse dans les organisations de gauche : UNEF, SOS Racisme, mouvement Ni Putes Ni Soumises. Il a été attaché parlementaire d’un député socialiste. Aujourd’hui journaliste, il a notamment cofondé la revue Usbek & Rica.

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