De l’assassinat comme un des beaux-arts!
Comprendre le mystère des images qui font mal.
Une autre histoire de l’art et du cinéma.

Les artistes ne font pas que peindre, sculpter, filmer, photographier au cinéma; par moment, ils tuent. Réciproquement, il arrive que les personnages de meurtriers s’avèrent être de dangereux plasticiens créant une œuvre autour de leurs forfaits, avec les armes de l’art ou en son nom. À partir de films de Hitchcock, Franju, Maurice Tourneur, Mamoulian, Lars von Trier, Wes Craven, Lewin, Haneke ou encore Burton, l’auteur invite à traverser une galerie de portraits d’artistes assassins, et d’assassins artistes, en explorant l’entremêlement des pulsions créatrices et homicides.

Historienne de l’art, Pauline Mari observe les liens entre le cinéma et les beaux-arts. Elle a publié Le Voyeur et l’Halluciné. Au cinéma avec l’op art (PUR, 2018), été commissaire de l’exposition « Le diable au corps » (2019) au Musée d’Art moderne et d’Art contemporain de Nice. Hartung Nouvelle Vague, de Resnais vers Rohmer a paru la même année aux Presses du réel. En 2022, elle publie aux éditions des Cendres Membres fantômes. Hartung, Cendrars, Brauner, récompensé par le Prix Valery Larbaud.

Une écriture vive et soignée, un sujet captivant abordé avec une approche originale, voire provocante, qui fait la part belle à une variété d’exemples tirés du cinéma ou des arts en général.

NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.