Ombrie
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Dans un poème écrit en Ombrie au cours de l’été 1953 et dédié à Cristina Campo, Mario Luzi évoque cette « terre qui s’abaisse humblement du haut de ses sommets, qui regarde de ses terrasses resplendir le ciel… »
Huit siècles et des poussières auparavant, un autre poète, le premier de la littérature italienne, François d’Assise rendait grâce dans son célèbre Cantique des créatures à « …notre mère la Terre qui nous porte et nous nourrit qui produit la diversité des fruits avec les fleurs diaprées et les herbes. »
Jean-Louis Jacquier-Roux flâne en Ombrie depuis plus de trente ans. Voici son carnet de voyage.
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