Jean-Claude Brisseau, entre deux infinis
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Nous sommes au Festival de Cannes en 1988. Un film bouleverse la Croisette. Son titre, De bruit et de fureur. Son auteur, Jean-Claude Brisseau. Aujourd’hui encore, le nom de Brisseau demeure en partie associé à cette réussite. Mais il y a le reste qui constitue une filmographie parmi les plus singulières du cinéma français depuis trente ans : Noce blanche (grand rôle de Vanessa Paradis), Céline, Les Anges exterminateurs, Choses secrètes, La Fille de nulle part, Les Savates du bon Dieu…
Une singularité qui tient en trois points essentiels : la transmission du savoir et des émotions, le goût de la culture populaire mixé à l’expérimentation des récits, l’universalité des questionnements sur l’existence en milieu hostile.
NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.