L’histoire est aujourd’hui attaquée de toutes parts. On soulève ses oublis, ses a priori, les idéologies qui la traversent, ses méthodologies « tendancieuses ». Selon certains, nous serions entrés dans une ère où on ne peut plus raconter une histoire unifiée. Au contraire, avancent d’autres, nous devons lutter contre la tentation de renoncer aux histoires nationales, nécessaires pour faire société. Peut-on encore écrire l’histoire? Que révèle sur nous et notre modernité le fait que l’histoire se retrouve continuellement sur la sellette?

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