AYBABTU
AYBABTU
Comment les jeux vidéo ont conquis la pop culture en un demi siècle
Goldberg, Harold  
Aubel, Damien (Traduit par) 
  • Éditeur : Allia
  • Collection : Musique
  • EAN : 9782844857088
  • Code Dimedia : 40900708
  • Format : Broché
  • Thème(s) : ART DE VIVRE & VIE PRATIQUE, SCIENCES & TECHNIQUES, SCIENCES HUMAINES & SOCIALES
  • Sujet(s) : Culture, Histoire générale, Informatique / Internet, Loisirs / Jeux, Sociologie / Anthropologie
  • Pages : 448
  • Prix : 37,95 $
  • Paru le 7 octobre 2013
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EAN: 9782844857088

L’histoire des jeux vidéo est de l’étoffe dont on fait les légendes. Harold Goldberg, journaliste affûté et gamer passionné, le montre avec brio. Ce livre balaie toute l’histoire du jeu d’une plume trempée dans la caféine du joueur insomniaque. Super Mario, les Orques d’EverQuest ou la bestiole de Crash Bandicoot ont fait le tour du monde. Mais depuis les temps fabuleux de la genèse vidéoludique au raffinement de Bioshock, les vrais héros sont autant sur les écrans que derrière les bureaux. On croise Nolan Bushnell, fondateur d’Atari, Roberta Williams, femme au foyer et visionnaire géniale… Une petite Bible pour les geeks, une mine de découvertes pour les novices, un monde à portée de main pour ceux qui n’y connaissent rien. Une lecture ludique et jouissive.
 

AUTEUR(S)

L’américain Harold Goldberg est chroniqueur de jeux vidéo pour le New York Times. Il est aussi historien du jeu vidéo pour la radio publique nationale. Il a également écrit sur une variété de sujets pour le New York Times , Vanity Fair , Esquire ou Rolling Stone.

Extrait

« Ma première expérience de BioShock remonte à une soirée organisée le 20 avril 2007 dans une salle de location bondée du West Side de Manhattan. Ma méfi ance excessive et paranoïaque me fi t refuser les écouteurs douteux que mettaient tous les journalistes pour écouter la bande-son, mais, même avec la seule image, les dix premières minutes me laissèrent stupéfait devant la beauté ténébreuse des fonds marins tandis que l’histoire d’horreur au coeur du jeu me fascinait et me terrifi ait. La soirée terminée, je dus bien malgré moi rentrer à la maison, regrettant de ne pas passer la nuit sur le jeu. Je fus incapable de fermer l’oeil. Je n’arrêtai pas de penser à ces personnages dérangeants, à ce monde marin et à son architecture art déco, ainsi qu’à cette nouvelle ère de l’histoire du jeu vidéo dont j’étais le témoin.»




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