Ce prince que je fus
Ce prince que je fus
Soler, Jordi  
Saint-Lu, Jean-Marie (Traduit par) 
  • Éditeur : Contre allée (La)
  • Collection : Sentinelle (La)
  • EAN : 9782376650515
  • Code Dimedia : 000200087
  • Format : Broché
  • Thème(s) : LITTÉRATURE - FICTION & ESSAI
  • Sujet(s) : Littérature espagnole/portugu.
  • Pages : 300
  • Prix : 37,95 $
  • Paru le 28 octobre 2019
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EAN: 9782376650515

Jordi Soler mêle réalité et fiction dans un aller-retour entre le Mexique et l’Espagne où l’Histoire se mêle à l’imagination exubérante de l’écrivain et c’est souvent drôle.

La folle histoire de Kiko Grau

 
Au XVIe siècle, Xipaguacin, une princesse aztèque fille de Moctezuma II, est enlevée par un noble espagnol qui l’emmène dans un village reculé des Pyrénées. Là, naitra un enfant qui sera à l’origine d’une lignée atteinte de folie et dépositaire d’un trésor qui, selon la légende, fut enterré par la princesse dans les terres catalanes.
 
500 ans plus tard, la recherche de ce trésor conduit le narrateur jusqu’à un personnage invraisemblable, Kiko Grau, qui profite de sa condition d’héritier de l’empire aztèque pour s’introduire dans la haute bourgeoisie de Barcelone.
 
Un roman picaresque
 

Entre le délire et la responsabilité historique que lui impose son origine, Son Altesse Impériale triomphe dans l’Espagne franquiste en escroquant tous ceux qui rêvent d’ajouter à leur nom un titre de noblesse qui les avalise socialement, aussi absurde que soit le titre et aussi mensongère que soit la reconnaissance qu’elle leur apporte.
 
Ce Prince que je fus est le récit mirobolant de la vie trépidante de Federico de Grau Moctezuma, de ses gloires et de ses échecs, de son besoin d’ostentation, de son penchant pour la fête et l’alcool, de son goût pour l’ascension et la chute et de sa retraite obscure dans un village mexicain dont les habitants sont les seuls qui lui reconnaissent des liens avec la royauté préhispanique.

AUTEUR(S)

Jordi Soler est né en 1963 près de Veracruz, au Mexique, dans une communauté d’exilés catalans fondée par son grand-père à l’issue de la guerre civile espagnole. Il a vécu à Mexico puis en Irlande avant de s’installer à Barcelone en 2005. Il est reconnu par la critique espagnole comme une des figures littéraires importantes de sa génération. Cinq de ses livres ont été traduits en français : Les Exilés de la mémoire (Belfond, 2007), La Dernière Heure du dernier jour (Belfond, 2008), La Fête de l’ours (Belfond, 2011), Dis-leur qu’ils ne sont que cadavres (Belfond, 2013) et Restos Humanos (Belfond, 2015). Tous sont repris chez 10/18.

Jean-Marie Saint-Lu est l’auteur de plus d’une centaine de traductions (Alfredo Bryce-Echenique, Juan Marsé, Antonio Munoz Molina, Elsa Osorio, Eduardo Mendoza, Fernando Vallejo, Vilma Fuentes, Jordi Soler, Carlos Liscano…), dont celles des textes d’Édouardo Berti. Agrégé d’espagnol, il a enseigné la littérature latino-américaine aux universités de Paris X-Nanterre, puis de Toulouse le Mirail.




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