Corps conducteurs
Corps conducteurs
Michaels, Sean  
Leroux, Catherine (Traduit par) 
  • Éditeur : Alto
  • Collection : Hors-collection
  • EAN : 9782896942091
  • Code Dimedia : B0009247
  • Format : Broché
  • Thème(s) : BEAUX-ARTS, LITTÉRATURE - FICTION & ESSAI
  • Sujet(s) : Littérature québécoise, Musique
  • Pages : 392
  • Prix : 18,00 $
  • Paru le 11 janvier 2016
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EAN: 9782896942091

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Échos de la presse

« Sean Michaels a remporté, en 2014, le prestigieux prix Giller pour son tout premier roman, Us Conductors, aujourd'hui traduit en français. Entrevue avec celui qui, par la trame fictive de ces Corps conducteurs, a su recomposer à sa manière le parcours de Léon Termen, l'inventeur de l'intrigant thérémine, entre histoires d'amour et d'espionnage. »
Valérie Lessard – Le Droit
[Entrevue]
 
« Comme une trame musicale, la plainte irréelle du thérémine accompagne les scènes marquante du roman [...]. Ces notes d'une justesse absolue font de Corps conducteurs une œuvre à la musicalité aussi électrisante que magnétique, qui, en donnant une voix au thérémine, nous rend sa sonorité étrange presque familière. »
Martine Desjardins – L’actualité

« Un roman magnifique, tellement bien écrit. Une écriture presque musicale. Puis le livre est extrêmement bien traduit par Catherine Leroux. »
Anne Michaud – Radio-Canada/Les matins d’ici
[Critique]
 
« Corps conducteurs est un roman d’amour, un amour impossible, un amour inventé. Bien ancré, cependant, dans une histoire impliquant de vrais personnages historiques, l’inventeur russe Léon Thérémine et sa muse américaine Clara, à une époque où tous les rêves étaient permis. »
Josée Lapointe – La Presse +
[Entrevue]
[Entrevue avec Catherine Leroux, traductrice]
 
« J’ai vraiment été séduit par ce roman ».
Marc Cassivi – ARTV/Esprit critique

« J’ai beaucoup aimé. Un auteur qui comprend toutes les finesses, les subtilités de l’âme russe. Il y a plein de références musicales, artistiques, scientifiques, historiques. Un travail très, très solide de recherche. Étoffé. »
Vincent Graton
 
« C’est super beau. Il y a du rythme là-dedans. La traduction est magnifique. »
Stéphane Archambault
Club de lecture de Bazzo.TV (Télé-Québec)
 
« Un roman inspiré. […] C’est à lire et soulignons la très bonne traduction de Catherine Leroux.» Marie-Louise Arsenault – Radio-Canada/Plus on est de fous, plus on lit
[Entrevue]

« Sean Michaels parvient à construire son roman avec brio, jouant sur différents temps narratifs en gardant bien le lecteur dans l’angle mort de la révélation. »
Jérémy Laniel – Voir
 
« Espion, scientifique, champion de kung-fu, amoureux éconduit. Dans Corps conducteurs, Sean Michaels invente une fausse existence au vrai Lev Termen, créateur du thérémine, qui devient ici le héros d’un premier roman où l’historique devient hip, où les mots forment des images magnifiques et où les années 1920-1930 servent de décor foisonnant. »
Natalia Wysocka - Métro
[Entrevue]

« Sean Michaels fait la preuve, dans ce roman fin et rythmé, d’une solide connaissance de la Russie soviétique. Et des gratte-ciel de Manhattan aux confins de la Sibérie, mêlant kung-fu, amour sans retour et espionnage, Sean Michaels applique de façon magistrale à la littérature la première loi de la thermodynamique : rien ne se perd. »
Christian Desmeules – Le Devoir
[Critique]

« Léon Thérémine, est le personnage principal, tout à fait fascinant, de ce roman ample et beau qui embrasse l’ambition d’un homme, les visées séductrices de la Russie communiste sur l’Ouest mais surtout le formidable amour entre Clara Rockmore, la plus grande joueuse de thérémine, et Thérémine lui-même. Bravissimo ! »
Lisanne Rheault-Leblanc – Nightlife Magazine

« Sean Michaels mêle l’histoire et la légende dans ce premier roman époustouflant. On y découvre une histoire d’amour ainsi que l’histoire d’un des plus anciens instruments de musique électronique, le thérémine, qui est joué sans être touché par le musicien. Mais aussi celle de son inventeur, pris entre la Russie et New York, entre les secrets d’État et la science, entre l’univers de l’Ouest et celui de l’Est. »
Marie-France Bornais – Journal de Montréal
[Entrevue]


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