Petit éloge des cafés
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Des troquets de quartier aux bars des grands palaces en passant par les bistrots étudiants et les terrasses romantiques, les cafés abritent mille et une histoires. Certains sont anonymes mais ont changé des destins, d’autres sont devenus des attractions touristiques incontournables et servent parfois de décor au septième art.
Tantôt lieux de mobilisation et de résistance, tantôt espaces de création artistique, à la fois symboles de la vie quotidienne et gardiens du souvenir, les cafés sont une source d’inspiration inépuisable et un refuge pour beaucoup d’entre nous.
Le Café de Flore à Paris, celui du Commerce à Ars-en-Ré, Les Pèlerins à Verdelais ou encore Les Deux Garçons à Aix-en-Provence… Léa Wiazemsky les fréquente depuis l’enfance et s’y est toujours sentie à sa place. Entre souvenirs personnels et histoire collective, elle nous embarque dans un vagabondage littéraire qui met à l’honneur les cafés, et celles et ceux qui les tiennent.
La romancière et comédienne Léa Wiazemsky a grandi dans l’atmosphère chaleureuse des cafés, où l’emmenaient ses parents Régine Deforges et Wiaz, avant d’y travailler pendant ses études et au début de sa carrière théâtrale. C’est derrière le zinc de l’un d’eux qu’elle a imaginé l’histoire de son premier roman, Le vieux qui déjeunait seul (Michel Lafon, 2015).
NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.