Maudite soit la guerre
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Novembre 1917. Le maître d’école fait imaginer aux enfants une lettre de soutien aux Poilus.
Fulbert, 11 ans, n’a alors qu’une idée : aller porter ce courrier à son père qui est dans les tranchées.
La présence d’un enfant jette le trouble sur le champ de bataille. Fulbert doit partir. Mais il aura eu le temps d’embrasser son père, qui mourra de ses blessures.
« Maudite soit la guerre ! » clame Fulbert. Une fiction inspirée du monument aux morts de Gentioux (Creuse), sur lequel figure cette étonnante mention pacifiste.
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