Estuaire, no 178
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Il y a l’eau qu’on boit, celle qui lave ou purifie, celle qu’on contemple et dont la traversée donne à rêver. Il y a la pluie qui tombe du ciel, en petite bruine ou en tempête. Il y a l’océan, les vagues qui viennent et reviennent. Il y a les étangs, les rivières. Il y a la surface calme ou agitée, les marées qui montent et qui descendent. Il y a l’eau claire et l’eau trouble.
Pour son cent soixante-dix-huitième numéro, le comité de rédaction d’Estuaire a invité onze poètes à écrire sur l’eau et la nage.
Bonne plongée!
Extrait du liminaire « Eaux troubles »
NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.