Mauvaise herbe (La)
Mauvaise herbe (La)
Nanji, Shenaaz  
Vivier, Claudine (Traduit par) 
  • Éditeur : Boréal
  • Collection : Boréal Inter (#55)
  • EAN : 9782764620458
  • Code Dimedia : 20052045
  • Format : Poche
  • Thème(s) : GÉOGRAPHIE & TOURISME, LITTÉRATURE - FICTION & ESSAI, SCIENCES HUMAINES & SOCIALES
  • Sujet(s) : Afrique, Immigration, Littérature canadienne, Littérature québécoise
  • Pages : 300
  • Prix : 14,95 $
  • Paru le 4 octobre 2010
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EAN: 9782764620458

Ouganda, 1972. Sabine, 15 ans, mène une vie heureuse et choyée, quand tout à coup son univers bascule. Le général dictateur Idi Amin décrète que les Indiens d’Ouganda ont 90 jours pour quitter le pays. « Il faut extirper la mauvaise herbe du pays! » Sabine ne peut pas croire que cela la concerne, elle, une Ougandaise de naissance!

 

Mais au fil du compte à rebours, Sabine découvre l’horreur et la brutalité de l’application de ce décret. Elle prend conscience qu’elle - et toute la communauté indienne à laquelle elle appartient - a mené une vie privilégiée. Elle ouvre peu à peu les yeux sur la misère qui l’entoure... et sur l’hostilité de ses compatriotes noirs! Sa meilleure amie, Zéna, se détourne d’elle. Son oncle bien-aimé disparaît. Les soldats pillent sa maison. Ses parents sont en fuite.

 

Sabine doit prendre en charge son destin et celui de son petit frère handicapé, mobiliser toutes ses ressources pour trouver le moyen de quitter à temps l’Ouganda, ce pays magnifique qu’elle a toujours considéré comme le sien. Réussira-t-elle à rejoindre son pays d’accueil : le Canada?

Un roman historique. Une histoire bouleversante.

 

Niveau de lecture : intermédiaire.

AUTEUR(S)

Née à Mombasa, au Kenya, Sheenaz Nanji, a grandi dans un creuset mêlant les cultures bantou/swahili, indienne, arabe et britannique. Comme les autres Ougandais originaires de l’Inde, toute sa famille a été expulsée d’Ouganda en 1972. Son prénom  signifie « princesse » en langue perse, mais elle se dit « citoyenne du monde » et croit au pouvoir des mots pour changer les choses et inspirer les jeunes esprits. Construit à partir des témoignages de nombreux réfugiés ougandais, ce roman bien documenté a été finaliste pour le Prix du Gouverneur général en 2008. Sheenaz Nanji vit à Calgary avec sa famille.




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