Barbelés
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« Barbelés est un objet rare. C’est un livre imparfait, inégal. Mais vibrant, bouleversant. Choquant, dur, cru. Confrontant. On y vit de l’intérieur le quotidien dans une prison. On y vit à l’intérieur des tripes d’un prisonnier. L’auteur de ce récit autobiographique, Pierre Ouellet, a 63 ans ; il a passé 40 années derrière les barreaux. »
Danielle Laurin – Le Devoir
[Critique]
« Pierre Ouellet a passé pratiquement les 40 dernières années en prison. Dans un livre coup de poing, l’homme de 63 ans lève le voile sur la dure réalité de l’univers carcéral. Barbelés, un récit autobiographique, n’épargne aucun tabou du milieu carcéral. »
Sarah-Maude Lefebvre – Journal de Montréal
[Critique]
« Un livre étonnant. Barbelés de Pierre Ouellet possède quelque chose de rare : une parole unique, avec toute ses imperfections, mais unique. »
Marie-France Bazzo – Télé-Québec/Bazzo.TV
« C’est un récit autobiographique. C’est un livre qui nous montre la réalité de la prison avec tout ce qu’elle a de dur, de tragique. Il y a une description très crue du milieu carcéral. Il y a des pages intenses, déchirantes. »
Andrée Poulin – Radio-Canada/Divines tentations
« La qualité littéraire est là, l’intérêt aussi. Ça vaut la peine. C’est très bien écrit. On apprend beaucoup sur le milieu carcéral. »
Patricia Tadros – Radio-Canada/Première heure
[Entrevue avec Claude Albert]
« Parmi les souvenirs d’une enfance plutôt normale, que Ouellet nous livre pêle-mêle, on cherche en vain l’élément déclencheur d’une carrière criminelle entamée à 13 ans… On s’étonne plutôt de trouver derrière les barreaux un homme aussi sensible, philosophe et cultivé. Sa plume est précise, engageante et, quand il parle des femmes (qu’il a peu côtoyées), d’une tendresse trop humaine. »
Martine Desjardins – L’actualité
« J’ai dévoré cet ouvrage autobiographique où un voleur de banques impénitent condamné pour meurtre, qui a passé la plus grande partie de sa vie en prison et qui y est toujours malgré quelques évasions spectaculaires, se dévoile, se raconte, se réinvente. »
Danielle Laurin – Le Devoir
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