Pénitences (Les)
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« Ce huis clos construit comme un suspense regorge de dialogues qui comptent parmi les plus riches qu’on ait lus ces dernières années dans les nouveaux romans québécois, dialogues empreints d’une oralité frontale et qui expriment des émotions oscillant entre la tendresse, le désespoir et la détestation. »
Claudia Larochelle – Elle Québec
« C’est excellent. Il y a l’écriture, la vérité, le territoire de l’intime. »
Marie-Louise Arsenault – Plus on est de fous, plus on lit (RC)]
[Entrevue]
« Alex Viens offre un huis clos oppressant et anxiogène dans lequel la dureté et la violence n’éclipsent jamais le souffle narratif, qui refuse aux regards la possibilité de se détourner, et à la vérité, la chance de passer inaperçue. »
Anne-Frédérique Hébert-Dolbec – Le Devoir
[Critique]
« Certaines violences sont plus sournoises que d’autres. Dans Les pénitences, Alex Viens met en scène celle qui roue de coups l’enfance sans laisser de trace, qui meurtrit l’esprit pour une vie entière. Avec ce premier roman, l’artiste de Montréal crée un huis clos père-fille inquiétant. Comme un thriller anxiogène où règnent cruauté et nostalgie. »
Léa Harvey – Le Soleil
[Entrevue]
« Pour un premier roman, c’est un uppercut littéraire ! […] Autant par la qualité du texte que par l’imprévisibilité du rythme de l’histoire, il y a dans ce livre une proposition audacieuse qu’on croise rarement. »
Julie Roy – L’actualité
« Une jeune femme retrouve son père et ça tournera mal. Place à un haletant thriller psychologique. Est-on dans un livre, est-on dans la réalité? Les pénitences nous happe tellement qu’on a peine à croire qu’Alex Viens signe ici son premier roman. C’est une affaire de décor implacablement décrit et de dialogues qui sonnent si juste qu’on les entend – tout un art tant il est facile d’en faire trop ou pas assez quand on ramène à l’écrit le québécois de tous les jours. »
Josée Boileau – Journal de Montréal
[Critique]
« Une plume précise, chargée. […] On assiste à une danse de pouvoir fascinante, une valse de contrôle et de domination. Les images sont fortes. »
Evelyne Charuest – Dessine-moi un dimanche (RC)
[Entrevue]
« Chaque saison littéraire vient avec ses surprises, Alex Viens en est une vraie, un brûlant coup de vent qui décoiffe, allez, l’air se faufile par les fenêtres mal isolées. […] Ce huis clos oppressant, un portrait saisissant de la maltraitance et de la pauvreté, du réveil nécessaire, porté par des dialogues d’une force à tout casser, révèle une voix qui ne demande qu’à faire tomber les murs, voici un marteau, une allumette, du papier et une enfance à brûler. »
Dominique Lemieux – Les Libraires
« Ça se lit d’un trait. Elle mérite tout le succès du monde avec ce livre-là. Aller vous le procurer. »
Mariana Mazza – Bonsoir, Bonsoir ! (RC)
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