Histoires de films
Histoires de films
Lévesque, François  
  • Éditeur : Somme toute / Le Devoir
  • Collection : Hors-collection
  • EAN : 9782925291237
  • Format : Broché
  • Pages : 312
  • Prix : 29,95 $
  • Paru le 16 octobre 2023

Aussi disponible en version numérique:

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Un incontournable pour les amateurs de cinéma!

Il y a deux ans, François Lévesque a commencé une série dans les pages du Devoir, « A posteriori le cinéma », qui consiste à revenir sur l’histoire d’un film, en prenant prétexte d’un anniversaire (exemple : les 50 ans de la sortie du Parrain). Ce livre présente près d’une quarantaine de ces textes, chacun dans une version fortement augmentée, ainsi que des inédits. Les films sont très variés : Blade Runner, Le Parrain, E.T., Titanic, L’été meurtrier, Fanny et Alexandre, La vraie nature de Bernadette
 
François Lévesque est d’une remarquable érudition : dans un style limpide, il définit le contexte social et culturel dans lequel le film a été tourné, les coulisses de sa production et la façon dont il a marqué l'histoire, le tout ponctué d’anecdotes fascinantes.

AUTEUR(S)

François Lévesque a été fasciné dès son plus jeune âge par les arts en général, le cinéma en particulier, et s’est découvert une passion pour l’écriture durant sa maîtrise en études cinématographiques. Journaliste culturel et critique de cinéma au journal Le Devoir depuis 2008, il a remporté en 2012 le Grand Prix du journalisme indépendant, catégorie « Meilleure critique culturelle – Écrit ». Il est l’auteur de nombreux romans noirs, dont trois aux éditions Tête première, En attendant Russell (2015), En ces bois profonds (2017) et Le nord retrouvé (2019). Il a reçu en 2009 le prix Cécile-Gagnon remis au meilleur premier roman jeunesse pour Matshi, l’esprit du lac (Mediaspaul, 2008).

Extrait

« La distribution des rôles [pour Le parrain] ne fut pas une mince affaire. Les noms de Kirk Douglas, Anthony Quinn et Laurence Olivier circulèrent pour jouer le patriarche… Alors que Puzo et Coppola soutenaient que Marlon Brando serait génial en Don Corleone, le studio penchait plutôt pour Ernest Borgnine, un vétéran associé à des succès récents, comme The Wild Bunch. À l’inverse, Brando cumulait les bides dont les coûts de production avaient souvent grimpé à cause de ses caprices. De telle sorte que, lorsque Paramount s’inclina, Brando accepta un cachet moindre et s’engagea par écrit à ne pas retarder la production. »




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