365 degrés (d'amour)

365 degrés (d'amour)

Khol, Alice  
  • Éditeur : Loco
  • Collection : Hors-collection
  • EAN : 9782843140174
  • Format : Broché
  • Pages : 500
  • Prix : 47,95 $
  • Paru le 23 mars 2020

Pourquoi les histoires d’amour finissent mal (mais pas que) en général?

Suite au succès de son blog qui a fait battre le cœur des visiteurs au rythme de ses publications pendant plus de deux ans : « 365° degrees of love », la photographe Alice Khol a décidé aujourd’hui de rassembler toutes ces histoires dans un livre.
 
L’ouvrage associe des histoires d’amour à des images : photographies, vidéos, captures d’écran, conversations Messenger, Tinder. Certaines sont très courtes, d’autres, bien plus longues, certaines sont touchantes et émouvantes, d’autres définitivement décalées font rire jaune...
 
365 degrés pour 365 variations sur l’amour.
L’amour et ses contradictions l’ont toujours questionné. C’est une chose qui nous préoccupe en permanence, dans nos relations que ce soit par sa présence, sa complexité ou son absence. C’est pour elle la plus belle des émotions, celle qui peut engendrer toutes les autres. Elle a voulu ces histoires anonymes pour que chacun puisse s’y retrouver et les rendre également plus universelles. Les photos sont là pour créer une association poétique. Elles donnent une couleur, une autre émotion.
 
Le degré est une unité de mesure qui sied bien à l’amour.
Si tout rassembler de l’amour est impossible, elle a cependant voulu exprimer une diversité : de regards, de sentiments, d’analyses, de points de vue, de plaisirs et de peines, d’humour et d’absurdité. Il ne s’agit pas exclusivement d’amour romantique mais également de questionnements à tout ce qui y est lié : sexualité, amour filial ou séduction. Ces histoires peuvent être des anecdotes drôles ou tragiques, des sensations, des conversations ou des récits poétiques. Le spectre est large...

AUTEUR(S)

Après des études de communication et de cinéma en France, elle suit des cours à l’école de photographie Agnès Varda à Bruxelles dont elle sort diplômée en 2012. Parallèlement, elle devient coordinatrice et programmatrice d’un festival de cinéma. Elle se met à la vidéo en 2015 et réalise plusieurs vidéoclips (pour Alek et Les Japonaises, RARI, Woodie Smalls,...), un court documentaire CURE sur sa sœur infirmière, et des portraits-vidéo pour les Midis de la poésie et Passa Porta. Son travail porte sur l’intimité. Elle tente d’extraire la poésie du quotidien en observant les moments où la réalité se transforme en fiction.




NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.