Déesse des mouches à feu (La) [ancienne édition]
Déesse des mouches à feu (La) [ancienne édition]
Pettersen, Geneviève  
  • Éditeur : Quartanier (Le)
  • Collection : Écho (#1)
  • EAN : 9782896982530
  • Code Dimedia : B0009515
  • Format : Poche
  • Thème(s) : LITTÉRATURE - FICTION & ESSAI, SCIENCES HUMAINES & SOCIALES
  • Sujet(s) : Adolescence, Littérature québécoise
  • Pages : 208
  • Prix : 13,95 $
  • Paru le 8 août 2016
  • Statut : Remplacé par un nouveau produit
  • Code de recherche: DEEMOU
  • Groupe: Romans
  • Date de l'office: 22 février 2018
  • Langue d'origine: français
EAN: 9782896982530

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La déesse des mouches à feu, c’est Catherine, quatorze ans, l’adolescence allée chez le diable. C’est l’année noire de toutes les premières fois. C’est 1996 à Chicoutimi-Nord, le punk rock, le fantôme de Kurt Cobain et les cheveux de Mia Wallace. Des petites crisses qui trippent sur Christiane F. et des gars beaux comme dans les films en noir et blanc. Le flânage au terminus et les batailles de skateux contre pouilleux en arrière du centre d’achats. L’hiver au campe dans le fin fond du bois, les plombs aux couteaux, le pcp vert et les baises floues au milieu des sacs de couchage. C’est aussi les parents à bout de souffle et les amants qui se font la guerre. Un jeep qui s’écrase dans un chêne centenaire, les eaux du déluge qui emportent la moitié d’une ville et des oiseaux perdus qu’on essaie de tuer en criant.
 
« Avec beaucoup de maîtrise, l’écrivaine a su prêter à La déesse des mouches à feu une langue trempée dans l’oralité de son époque et de la région qu’elle décrit, fautes de grammaire en prime. Elle parvient à insuffler la vie et à donner de la texture et des fêlures à ce personnage d’adolescente qui arrive à briller dans le noir, cousine lointaine du Holden Caulfield de L’attrape-cœurs. Puissant. »
— Christian Desmeules, Le Devoir
 
« La déesse des mouches à feu est un roman dur, violent, sans concessions. Et pourtant touchant. Si son héroïne et narratrice se montre détestable, égoïste et superficielle, elle s’avère aussi fragile, pleine de failles. Elle réveille brutalement l’ado qu’on a été. »
— Danielle Laurin, Elle Québec
 




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