Courriers de Berlin
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Le roman Courriers de Berlin est à la fois une curiosité et une première car il est fait de mille cinq cents courriels envoyés d’octobre 2002 à juillet 2009. Matthias Zschokke est mélancolique, et les hauts et les bas de son humeur s’enchaînent à une vitesse vertigineuse ; l’argent manque toujours.
Les livres qu’ils lisent suscitent des avis féroces (Goethe, Thomas Mann et beaucoup d'auteurs contemporains, Peter Handke, Walser et Kafka, eux, les revigorent).
L’ouvrage est un essai monumental sur la culture d’aujourd’hui et ses fabricants. La critique allemande a été unanime à reconnaître dans ce texte une œuvre au style aérien, pleine d’humour et de goût de vivre. La Süddeutsche Zeitung a titré «L’effet stimulant d’une faillite totale».
NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.