Des pionniers au Texas
Des pionniers au Texas
1850-1880
Verlet, Bruno  
  • Éditeur : Vendémiaire
  • Collection : Enquêtes
  • EAN : 9782363580191
  • Code Dimedia : 17800019
  • Format : Broché
  • Thème(s) : GÉOGRAPHIE & TOURISME, SCIENCES HUMAINES & SOCIALES
  • Sujet(s) : États-Unis, Histoire générale
  • Pages : 192
  • Prix : 34,95 $
  • Paru le 27 février 2012
  • Statut : Ne diffusons pas ce titre
  • Code de recherche: PIOTEX
  • Groupe: Sc. humaines - Revues et divers
  • Date de l'office: 23 février 2012
  • Langue d'origine: français
EAN: 9782363580191

Durant vingt ou trente années, au milieu du 19e siècle, c’est le Texas qu’ont choisi les émigrants européens pour y vivre et si possible y prospérer. Qu’est-ce qui animait ces paysans venus du bassin rhénan ou de Pologne, ou ces idéalistes désireux de fonder une véritable égalité des droits et des devoirs ? Comment ont-ils survécu, fait fortune, ou fait faillite ? Comment sont-ils devenus Américains ? Qu’ont-ils perdu, et gagné, dans cette métamorphose ? En somme, qu’est-ce qui fait une immigration réussie ?

Dans les années 1850, le Texas, terre encore vierge de l’ouest américain, vit s’implanter sur son sol, outre les aventuriers en tout genre, maraudeurs ou chercheurs d’or, des colonies de type et d’origines diverses. Ces différents groupes avaient en commun le souhait de s’implanter durablement, en cultivant le sol, et en refusant le modèle esclavagiste.

D’où venaient ces nouveaux arrivants ? Essentiellement de l’Europe du centre et de l’est : Alsace, Allemagne, Pologne ; de France également, mais alors non plus pour des raisons sociales, mais politiques : aux émigrations de pauvreté de paysans démunis emmenés outre Atlantique par des prédicateurs inspirés ou des escrocs s’ajoutent en effet les émigrations revendicatives des laissés-pour-compte de la monarchie censitaire, qui suivent Cabet ou Considérant pour fonder avec eux, dans le désert, des cités utopiques.

Le projet de l’ouvrage est de suivre dans le détail, avec un respect scrupuleux des archives (récits, correspondances, notes commerciales et administratives) ce que furent ces différentes expériences d’acculturation, et d’analyser, jusqu’au bout, c’est-à- dire jusqu’à aujourd’hui, les raisons de leur épanouissement ou de leur déclin. D’où il ressort que pour réussir en terre étrangère il vaut mieux être un agriculteur avisé qu’un républicain pétri de bonnes intentions et de foi dans l’humanité...       




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