Frères K (Les)
Frères K (Les)
Duncan, David James  
Raynaud, Vincent (Traduit par) 
  • Éditeur : Monsieur Toussaint Louverture
  • Collection : Grands animaux (Les)
  • EAN : 9782381961200
  • Code Dimedia : 000231466
  • Format : Broché
  • Thème(s) : LITTÉRATURE - FICTION & ESSAI
  • Sujet(s) : Littérature américaine
  • Pages : 832
  • Prix : 29,95 $
  • Paru le 23 mai 2023
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EAN: 9782381961200

Lumineuse peinture des relations humaines au cœur des années 1960, Les Frères K nous emporte avec tendresse dans la ronde de la famille Chance. Entre un père aux rêves sportifs brisés par un accident à l’usine et une mère obsédée par la religion, entre fanatisme et sirènes de la liberté, labeur et passion, les enfants Chance grandissent et petit à petit choisissent leur propre manière de s’accommoder d’un monde plein de contradictions.

Tout à la fois drôle, émouvant et merveilleusement écrit, Les Frères K est l’une des plus belles chroniques de nos existences. Retraçant deux décennies de loyauté, de colère, de regrets et d’amour, David James Duncan cristallise de manière éblouissante les drames et les passions qui parcourent la vie d’une famille. Il raconte une histoire aussi frappante d’originalité que poignante d’universalité.

Les Frères K est de ces romans qui nous accueillent à bras ouverts et dans lesquels on aime se réfugier pour retrouver douceur et humanité, grain de folie et bienveillance, une ode à la bonté qui adoucit chaque instant du quotidien, ses hauts comme ses bas, ses éclats éblouissants comme sa chaleur solaire. Il y a du Rick Bass dans ces lignes, du Edward Abbey, du Stegner, du Ken Kesey aussi.

AUTEUR(S)

David James Duncan, né à Portland dans l’Oregon en 1952, vit aujourd’hui dans le Montana. Alors qu’il était étudiant au lycée Reynolds à Troutdale, Duncan découvrit Les Buddenbrooks, ou le Déclin d’une famille, de Thomas Mann.

Dès lors, il se plongea dans l’univers de la littérature philosophique et les textes religieux afin d’essayer de vivre à la lumière d’un étincelant feu intérieur. Mais c’est dans les eaux du Nord-Ouest que Duncan « trouvera » sa religion, et dans le saint saumon, son sauveur. La spiritualité de Herman Hesse, Jack Kerouac, Ken Kesey, Nikos Kazantakis, Wendell Berry, Gary Snyder, Mahatma Gandhi, Rachel Carson et Terry Tempest Williams imprègne son travail.

Alors qu’il enchaîne les petits boulots, Duncan écrira son premier roman, La Rivière Pourquoi, sur les rives de la Johnson Creek à l’est de Portland. Après une vingtaine de refus, son manuscrit est enfin publié en 1983 par le Sierra Club Books (paru en français en 1999, chez Albin Michel, sous le titre La vie selon Gus Orviston).

Ce roman d’apprentissage lui apportera dès sa publication une immense renommée, le plaçant aux côtés de Richard Brautigan et John Irving. Son second roman, Les Frères K, « embrasse les thèmes des grands romans russes tels que Guerre et Paix et bien entendu Les Frères Karamazov ». Parallèlement à son travail de romancier, David James Duncan a écrit de nombreux articles et essais sur la littérature, la nature et l’environnement.

En 1995, il publiera un recueil d’essais environnementaux et de nouvelles autobiographiques, River Teeth. Un autre recueil de vingt-deux essais, My Story as Told by Water, publié en 2001, confirmera sa réputation d’activiste passionné d’écologie et de mysticisme, entièrement dévoué aux beautés jumelées de l’amour et de l’eau. Récipiendaire de nombreux prix, Duncan a été lauréat du Pacific Northwest Booksellers Award pour La Rivière Pourquoi et Les Frères K.




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