Ma vie rouge Kubrick
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« Avec Ma vie rouge Kubrick, son premier livre, Roy rend un hommage senti à Kubrick. En parallèle, il plonge dans son historique familial, marche sur les traces de sa mère et dissèque ses démons. »
Dominique Lemieux - Les Libraires
[Entrevue]
« Dans son premier livre, Simon Roy mélange les formes de l’essai et du roman, en intégrant ses traumatismes personnels à son analyse du chef-d’œuvre de Stanley Kubrick, The Shining. Avec pour résultat un récit inclassable et stupéfiant, qui nous plonge dans une lecture hypnotique, à la fois haletante et terrible. Ma vie rouge Kubrick est l’un des chocs de la rentrée qu’il ne faut pas rater. »
Chantal Guy – La Presse +
[Entrevue]
« On apprécie l’écriture de Simon Roy qui fait marque. […] D’abord des vignettes sur Kubrick, ensuite des vignettes sur sa fascination pour le film, puis des vignettes sur lui, sa mère. Et tout ça colle énormément. Un livre excessivement bien écrit. C’est très personnel, très senti. C’est fascinant. »
Jérémy Laniel – CIBL/Catherine et Laurent
« Avec Ma vie rouge Kubrick, son premier livre, Roy rend un hommage senti à Kubrick. En parallèle, il plonge dans son historique familial, marche sur les traces de sa mère et dissèque ses démons.
Dominique Lemieux - Les Libraires
[Entrevue]
« Que de liens habiles tissés entre The Shining, la violence de l’humanité et sa propre histoire familiale morbide ! Ce livre, qu’on finit par dévorer, montre à quel point une oeuvre d’art sert parfois de tampon entre des réalités insoutenables et l’imagination qui les refaçonne. »
Odile Tremblay – Le Devoir
« Il s’agit d’un exorcisme familial, nécessaire pour l’auteur, qui s’applique et réussit majestueusement à raconter l’histoire tragique et attristante de son rapport complexe avec sa mère, qui s’est enlevée la vie après une existence difficile liée à un traumatisme de jeunesse issu du meurtre sordide et violent de sa propre mère. »
Joseph Elfassi – Voir
[Critique]
« Un roman-essai pour les amateurs de cinéma, de Stanley Kubrick et du film The Shining. Tout part d’un rapport très personnel à ce film. Simon Roy en fait une analyse particulièrement vivante, mais en même temps on plonge dans sa vie familiale. C’est vraiment très, très riche. »
Stéphane Leclair – Radio-Canada/C’est pas trop tôt
« Un livre intéressant car c’est un objet inclassable. C’est l’histoire de la famille de Simon Roy, son vécu personnel, et l’autre partie, c’est sa fascination pour le film The Shining. Un objet unique car il questionne la fascination qu’on peut tous avoir pour une œuvre à un moment ou l’autre. Un livre qui vaut le détour. »
Georges Privet – Radio-Canada/Médium large
« Entre le roman, l'essai, le récit, bref, plutôt inclassable, mais dur, dérangeant. C'est d'abord un ouvrage sur une grande fascination pour le film culte The Shining que, doucement, l'auteur met en parallèle avec sa propre vie, son propre besoin d'écrire. Le suicide de sa mère s'y mêlera, donnant une raison supplémentaire à Simon Roy de se donner corps et âme dans l'écriture de ce livre qui aborde une généalogie morbide. »
Myriam Daguzan Bernier – Châtelaine
« Un essai très personnel, assez inclassable. C’est à la fois une analyse du film The Shining et du suicide de la mère du narrateur. C’est aussi une réflexion sur la portée que peuvent avoir des œuvres d’art. […] Un essai vraiment réussi. »
Marie-Louise Arsenault – Radio-Canada/Plus on est de fous, plus on lit
[Entrevue]
« Un essai atypique. Un livre qui marque le lecteur. C’est puissant. Ça démontre la portée de l’art, le pouvoir résilient des mots et l’utilité des livres. Un choc littéraire, vraiment. »
Jérémy Laniel – Radio-Canada/La Librairie Francophone
« C’est un livre qu’on dévore et qui nous dévore… »
Chantal Guy – La Presse
« Un roman-essai inspiré du film culte The Shining de Stanley Kubrick. Un livre poignant, qui explore la fascination qu'on peut parfois avoir pour une oeuvre. »
Mélissa Pelletier – Huffington Post Québec
« Le livre se dévore. »
Louis-José Houde – La Presse +
[Critique]
« Un récit diablement bien mené, audacieux, intelligent, parsemé de réflexions existentielles qui forcent l’introspection. »
Pascale Milot – Montréal Centre-Ville
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