

Feu de mon père (Le)
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« Un écrivain remarquable. Il y a une beauté, une poésie dans l’écriture. C’est magnifique. Un récit extrêmement touchant. »
Marie-Louise Arsenault – Radio-Canada/Plus on est de fous, plus on lit
[Entrevue]
« Voici une oeuvre à marquer d’une croix, un ouvrage clé. Certainement un livre unique, jusqu’à maintenant, dans le parcours de ce romancier et nouvelliste aussi reconnu comme poète. »
Danielle Laurin – Le Devoir
« À la fois un portrait sans concession de son père ʺ psychopathe ʺ et un hommage à la poésie, transformée en arme plus puissante qu’un ʺ gun ʺ pour tirer… un trait sur le passé. Le coup est puissant. […] un récit est à la fois magnifique et terrible.»
Chantal Guy – La Presse +
[Entrevue]
« Un livre sombre, mais beau et grand. Tous les passages du père, de la famille sont toujours agrémentés par un chapitre suivant sur la poésie et la littérature. [..] Il y a là une grande et infinie douleur, des phrases évocatrices. J’ai été profondément touchée par ce livre-là. »
Patricia Powers – Radio-Canada/Chez nous le matin
[Critique]
« Entre le roman et l’essai, Le feu de mon père est une exploration intime et complexe du rapport trouble qu’a entretenu Delisle avec son père hors-la-loi. On y trouve une expérience de lecture à la fois riche et inconfortable. »
Sylvie St-Jacques – La Presse
« Le feu de mon père… est, à mes yeux… un classique instantané et peut-être même un chef-d’œuvre. Je pèse mes mots. Un grand grand livre, tout petit pourtant, mais si dense et si bon à lire, si drôle parfois, et tendre et cruel, si juste toujours…. Il faut lire absolument Le feu de mon père. »
Jean Barbe – Journal de Montréal
« Michael Delisle va bien au-delà du témoignage dans ce récit qui se transforme en hommage à la poésie salvatrice et qui, en filigrane, fait aussi le portrait d’un Québec étouffant. »
Chantal Guy – La Presse +
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