Chaque fois qu'un innocent a l'idée de monter un chef-d'oeuvre, le choeur des cafards entre en transe
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On a beau s'y faire, il n'empêche que les fervents du Septième Art ont parfois la dent dure. Exception faite de vibrants ( je n'ose écrire pertinents) hommages relatifs à ma clairvoyance et à mon objectivité en matière de pellicule, je me fais quotidiennement traiter de «rebutant crétin», «démolisseur obtus», «analphabète prétentieux», tandis que les épithètes «vendu» et «refoulé» (sic), sont monnaie courante. Certain correspondant (signant illisible et demeurant rue des Pyramides, Paris 2e) devrait toutefois se renseigner quant à ma date de naissance avant de me traiter péremptoirement de «vieux câ?¦» comme il l'a fait dans une récente missive. Je ne discute pas l'épithète, mais je conteste l'adjectif.
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