Voyage à Naples
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« Voir Naples et mourir », dit le proverbe. Certes, mais avec Dumas pour guide.
« C’était Naples, la belle esclave grecque, qui devait m’offrir ce second visage, voilé pour nos grands maîtres, sous la lave d’Herculanum et la cendre de Pompéi. » Le tumultueux périple italien d’Alexandre Dumas le mène, du 2 au 23 août 1835, à Naples où il séjourne clandestinement, bien décidé à explorer les multiples facettes de cette ville bouillonnante. Dans un texte resté inédit depuis 2006, le grand écrivain populaire fait voyager son lecteur entre Chiaia, le quartier des étrangers et de l'aristocratie, Toledo, celui des flâneurs et des boutiques, Forcella, celui des avocats et des plaideurs, tous théâtres d’intrigues amoureuses et politiques.
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