Boss est mort (Le)
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Vivre par procuration. Succomber au désespoir. Survivre dans la risée. Cette drolatique tragédie pathétique met en scène un homme pour qui « le Boss » devient l’archétype suprême, égal à Dieu, plus grand que la Mort ? Non, puisqu’il s’en est allé, mais plus grand que l’homme, que Lui, le petit homme, le prolétaire.
Est-ce le portrait de l’homme d’une culture ?
De l’homme d’une époque ?
De l’homme d’une génération ?
L’homme est-il un peuple ?
À n’en point douter, l’homme, si petit soit-il, est une grande œuvre.
Le boss est mort, vive Yvon Deschamps !
NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.