Dante
Dante
Malato, Enrico  
Raiola, Marilène (Traduit par) 
  • Éditeur : Belles Lettres (Les)
  • Collection : Biographie
  • EAN : 9782251446820
  • Code Dimedia : 000168038
  • Format : Broché
  • Thème(s) : GÉOGRAPHIE & TOURISME, LITTÉRATURE - FICTION & ESSAI, SCIENCES HUMAINES & SOCIALES
  • Sujet(s) : Biographie / Récit biogra., Histoire & critique littéraire, Italie, Littérature italienne/roumaine, Moyen Âge, Philosophie
  • Pages : 384
  • Prix : 60,95 $
  • Paru le 12 juin 2017
  • Statut : Disponible, 2 à 4 semaines
  • Code de recherche: DANTE
  • Groupe: Biographie / témoignage
  • Date de l'office: 8 juin 2017
  • Langue d'origine: italien
EAN: 9782251446820

Enrico Malato retrace le difficile cheminement de Dante vers l’édification d’une nouvelle poétique. Attentif à saisir aussi bien l’éclosion de l’homme que celle d’une oeuvre complexe parce que traversée par la postérité, il met en lumière des pans jusqu’alors ignorés du grand poète florentin.
 
Malato interroge ainsi l’attribution à Dante de trois textes majeurs : le Fiore, le Detto d’amore et la Questio ainsi que de certaines lettres, dont la XIIIe (adressée à Cangrande della Scala, dédicataire de son Paradis), où l’on trouve fixées, pour la première fois, les principales lignes de force de La Divine Comédie.
 
Malato s’attache par ailleurs aux enjeux poétiques qui sous-tendent la Vie nouvelle, et propose une analyse des deux versions de sa conclusion. Il démontre que, Dante, chantre d’un amour édifiant et purement spirituel, invoque un lyrisme conforme aux principes de la doctrine chrétienne, se démarquant en cela du « Stil novo » qui loue l’amour sensuel.
 
Enfin, ce dernier s’attaque au conflit opposant Dante et le poète Cavalcanti, celui-là même qu’il appelait son « premier ami » et qui fut le « maître de sa jeunesse » tout autant que son grand rival poétique. L’auteur s’attarde alors sur les divergences d’ordre doctrinal entre Dante, dont les positions théoriques sont exposées justement dans la Vie nouvelle et seront reprises dans d’autres textes, et Guido qui, dans sa canzone intitulée Dame me prie, se rallie aux célèbres règles d’amour courtois d’André le Chapelain (officiellement condamné par l’Eglise en 1277).      
 




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