Petite mariée de Chagall (La)
Petite mariée de Chagall (La)
Malenfant, Paul Chanel  
  • Éditeur : Noroît (Du)
  • Collection : Hors-collection
  • EAN : 9782890187696
  • Code Dimedia : 22840032
  • Format : Livre numérique PDF
  • Thème(s) : LITTÉRATURE - FICTION & ESSAI
  • Sujet(s) : Littérature - Divers, Littérature québécoise, Poésie
  • Pages : 136
  • Prix : 13,99 $
  • Paru le 26 septembre 2012
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EAN: 9782890187696

Aussi disponible en version numérique:

Tombeau, comme hommage à la mémoire de la mère morte après avoir souffert d'Alzheimer; tombeau, comme fosse où confesser le secret de l'enfance.
 
Le deuil et la mélancolie, ces lieux de l'âme, fondent dans le parcours poétique de Paul Chanel Malenfant le climat affectif de l'imaginaire. Deuil des figures familiales, père et mère en allés; des êtres disparus dans la turbulence du siècle; des paysages qui s'effacent, par delà la beauté du monde. Du temps même qui, inlassablement, passe. Le poète érige des tombeaux pour survivre dans le devoir de la mémoire, dans le bonheur d'expression de la pensée lyrique. C'est en ce sens que La petite mariée de Chagall convoque maintenant, entre lamentation et célébration, le mystère de la mère morte, à la fois comme un exorcisme de l'enfance - perdue / retrouvée - et un hommage rendu à la langue maternelle.
 
Rumeur, sourdine, murmure : une trame narrative se profile dans le poème, attentive à la fois aux airs et aux affaires de familles, quand le cœur amoureux tergiverse, à dessein, entre l'invention d'un souvenir et la divulgation d'un secret.

AUTEUR(S)

Écrivain et professeur de littérature à l'UQAR, Paul Chanel Malenfant a publié une trentaine d'ouvrages abordant les différents genres littéraires et, souvent, les superposant, de la poésie à la fiction et à l'essai.
 
Au Noroît, il a publié Vivre ainsi (2005), Des ombres portées (2000: Prix du Gouverneur général), Fleuves (1997 : Prix Alain-Grandbois de l'Académie des lettres du Québec, Grand Prix du Festival intermational de la poésie et finaliste au Prix du Gouverneur général), Voix transitoires (1992), La table des matières (1990), Tirer au clair (1988), Les noms du père suivi de Lieux dits : italique (1985 : finaliste au Prix du Gouverneur général) et Le mot à mot (1982). En outre, une anthologie couvre l'ensemble de son œuvre : Traces de l'éphémère, choix de poèmes présenté par Louise Dupré (collection « Ovale », 2011).




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