Treize dernières heures de la vie de Federico Garcia Lorca
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Pour la première fois, soixante-dix sept ans après le drame, voici élucidée, la mort du grand poète d'Espagne, le joyau de l'Andalousie. Pendant trois ans et demi, comme personne avant lui, Miguel Caballero Pérez a épluché les archives policières, militaires, de la garde civile, déchiffré y compris les témoignages de membres fascistes de la Phalange espagnole. La mort de Lorca fut double : d'une part à cause de ses poèmes prenant position, dès 1923, contre la garde civile et la répression des grèves ouvrières ; le peloton d'exécution, d'autre part, comprenait un parent réglant là de vieilles querelles familiales inséparables des conflits sociaux et politiques de l'époque. Bref, un livre que tout vrai « afficionado » de la poésie doit lire.
Miguel Caballero Pérez, né dans la région de Malaga le 25 avril 1959, est historien, membre de l'Institut d'études historiques du sud de Madrid, Jiménez de Gregorio. En collaboration avec l'université Carlos III de Madrid, il a mené de nombreuses enquêtes historiques ayant pour cadre l'Andalousie notamment et pour thème de prédilection le poète Federico Garcia Lorca sur qui il a écrit plusieurs livres.
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