Une divine plaisanterie
Une divine plaisanterie
Cycle de Manawaka (Le), t. 02
Laurence, Margaret  
Soonckindt, Edith (Traduit par) 
  • Éditeur : Alto
  • Collection : Coda
  • EAN : 9782896940318
  • Code Dimedia : 33040105
  • Format : Livre numérique EPUB
  • Thème(s) : LITTÉRATURE - FICTION & ESSAI
  • Sujet(s) : Littérature canadienne
  • Pages : 336
  • Prix : 9,99 $
  • Paru le 28 février 2012
  • Plus d'informations...
EAN: 9782896940318

Aussi disponible en version numérique:

pdf_25

Traduit de l’anglais (Canada) par Édith Soockindt.
 
Rachel Cameron, une institutrice célibataire vivant à Manawaka, est enfermée dans un cocon de silence, une armure de désirs inassouvis. Celle qui se définit comme un « anachronisme » continue, jour après jour, de prendre soin de sa mère en couvant à l’insu de ses collègues une détresse intérieure profonde, une soif de liberté et de passion que la rencontre de Nick, un amant de passage, viendra brièvement apaiser.
 
Récompensé par le Prix littéraire du Gouverneur général et adapté au cinéma par Paul Newman sous le titre Rachel, Rachel, Une divine plaisanterie dissèque avec un humour acide les thèmes de la solitude, de l’amour, de la mort et de la foi. En remarquable peintre des sentiments, la grande dame des lettres canadiennes signe un récit émouvant pétri d’humanité, un portrait de femme hors du commun aux échos universels.
 
« Il y a de ces romans qui vous marquent étrangement. Des histoires qui vous habitent même longtemps après que la dernière page n’ait été tournée. Une divine plaisanterie, de Margaret Laurence, est l’un des ces romans fabuleux, un qui transcende les années pour vous toucher droit au coeur. » **** ½ - Caroline Craig, Le Droit
 
« Merci à Alto pour nous permettre de découvrir cet auteur reconnu au Canada anglais. Différent de L’ange de pierre, mais combien actuel encore aujourd’hui par ses propos. Un roman touchant et réaliste qui présente tous les ingrédients d’une bonne histoire. » - Danielle Perreault, FM 103,5

AUTEUR(S)

Margaret Laurence, née Jean Margaret Wemyss, a vu le jour en 1926 à Neepawa, au Manitoba. Après ses études, Jean Margaret est embauchée par le Winnipeg Citizen puis épouse, en 1947, l’ingénieur Jack Laurence.
Son premier roman, This Side Jordan, est publié en 1960, suivi par ses mémoires somaliens (The Prophet’s Camel Bell) en 1963. En 1964 paraît son futur classique, The Stone Angel (L’ange de pierre), véritable assise d’un ambitieux édifice littéraire mondialement connu sous le titre de Cycle de Manawaka. Suivront A Jest of God (Une divine plaisanterie, 1966, Prix littéraire du Gouverneur général du Canada), The Fire-Dwellers (Ta maison est en feu, 1969), le recueil de nouvelles A Bird in the House (Un oiseau dans la maison, 1970) et, enfin, The Diviners (Les Devins, 1974, Prix littéraire du Gouverneur général du Canada), roman complexe et mature qui vient clore de façon magistrale ce que beaucoup considèrent comme le plus important cycle romanesque canadien (en version intégrale dans la collection CODA).
En 1972, Margaret Laurence est nommée Membre de l’Ordre du Canada. Cette grande dame des lettres canadiennes met fin à ses jours le 5 janvier 1987 après avoir appris, quelques mois plus tôt, qu’elle souffrait d’un cancer incurable. Ses mémoires, intitulés Dance on the Earth, ont été publiés en 1988. Encore aujourd’hui, Margaret Laurence demeure l’écrivaine la plus lue au Canada. Elle a exercé une profonde influence sur des écrivains majeurs tels Robertson Davies, Alice Munro et Margaret Atwood.




NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.