Raconte-moi que tu as vu l'Irlande
Raconte-moi que tu as vu l'Irlande
Burns, Mike  
  • Éditeur : Planète rebelle
  • Collection : Paroles
  • EAN : 9782922528350
  • Code Dimedia : 26500035
  • Format : Livre avec CD / code QR
  • Thème(s) : GÉOGRAPHIE & TOURISME, LITTÉRATURE - FICTION & ESSAI
  • Sujet(s) : Contes, Royaume-Uni
  • Pages : 64
  • Prix : 21,95 $
  • Paru le 14 mai 2003
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EAN: 9782922528350

Mike Burns conte les yeux fermés, d’une voix grave et vibrante, des récits issus de la plus pure tradition irlandaise. Il intercale français, anglais et gaélique. Pour le français, il a tenu à puiser directement à l’oralité du Québec afin de conserver à ses récits un goût de terroir, l’authenticité de la langue du peuple, celle de ses luttes mais aussi de ses aspirations.

En bon Irlandais, Mike Burns fait également œuvre d’humour. Il joue donc avec les mots et « valorise les calembours et les locutions mémorables, sortes de chorégraphies verbales que l’on peut considérer comme un trait distinctif au sein de la culture européenne », dira-t-il lui-même en prologue de son livre. Mike Burns a le même souffle, la même poésie narrative dans le livre que sur le CD. Dans les deux cas, le récit commence ainsi : Le temps que je vous conte, ce n’est pas votre temps, ce n’est pas mon temps non plus, mais c’est bien celui de quelqu’un. On croit alors aussitôt voir notre conteur assis sur une chaise de bois, comme il le serait sur le tabouret d’un pub ou la banquette d’un roi.

Livre avec CD

AUTEUR(S)

« Dans la province de Munster, dans le comté de Kerry, dans la baronnie d’Iveragh, dans la paroisse de Cahirciveen — là même où l’Irlande, de ses quatre doigts tendus, donne la main à l’océan depuis toujours —, on a vu naître Mike Burns. Mike conte régulièrement depuis l’âge de dix-sept ans ; il voisine la cinquantaine aujourd’hui. Il connaît plus de contes qu’il n’y a de jours en l’année, ou de minutes en un jour… allez savoir, les yeux fermés, on ne voit pas le temps passer. Ses contes, il les tient de son père Conny et de Nell, sa grand-mère ; ses contes, il les tient d’Irlande. Et même quand il les dit en français, c'est la langue de Gaël qu’on entend, avec le vent des fils d’Oïchin, le sel des mers celtes, l'âcre noir de la tourbe, l’or liquide des orges vieillies et cette ampleur du temps où les dieux se mêlent aux hommes. »

Raconte-moi que tu as vu l'Irlande, Préface, Christian-Marie Pons




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