Chère Joblo
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Depuis quelques années, dans Le Devoir du vendredi, Josée Blanchette tient un courrier du cœur. En fait, est-ce vraiment un courrier du cœur ? Elle a elle-même intitulé sa chronique « Maux de cœur, de cul et de cocus ». Cela donne sans doute mieux le ton de ces lettres des lectrices et des lecteurs et des réponses que la journaliste y apporte, où le cœur n’est pas le seul « muscle involontaire » qui y soit évoqué.
Épicurienne et fine moraliste, tour à tour curieuse, irrévérencieuse, provocante, rêveuse, terre-à-terre et romantique, Josée Blanchette publie chaque semaine des chroniques dans le journal Le Devoir.
NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.