Porte du ciel (La)
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« En trois ans et deux romans, Dominique Fortier s'est imposée dans la courte liste des auteurs incontournables. Son troisième roman ne déçoit pas : on y retrouve une auteure d'une grande maturité, à l'écriture soignée, capable de parler de désirs inassouvis et de fraternité sur fond de guerre civile américaine.»
Josée Lapointe – La Presse
[Entrevue]
« Il y a un vrai regard sur ce que ça voulait dire d’être esclave, c’est la beauté du roman. C’est très réussi. Il y a un classicisme merveilleux. Un très bon roman. »
Marie-Louise Arsenault
Radio-Canada/Plus on est de fous, plus on lit
[Entrevue]
« Nous aurons l'impression que tout cela est palpable, que nous sommes vraiment là, tapis dans l'ombre de la guerre de Sécession. »
Danielle Laurin – Le Devoir
« Une auteure à suivre ! Dominique Fortier réaffirme son grand talent pour revisiter l'histoire et en tirer de la matière à fiction dans La porte du ciel, où elle suit le destin de deux jeunes filles, une noire et une blanche, dans des États-Unis rongés par la guerre civile. Un roman extraordinaire. C’est vraiment bien écrit. C’est une orfèvre Dominique Fortier. Un roman vraiment remarquable. »
Catherine Lachaussée
Radio-Canada/Retour sur le monde
« Les images sont saisissantes… Elles vont vous hanter longtemps. »
Manon Trépanier
Radio-Canada/La librairie francophone
« Un roman surprenant. »
Lisanne Rheault-Leblanc – 7 jours
« La porte du ciel, d’ailleurs construit autour du motif de la courtepointe, au propre comme au figuré, est sans doute le livre le plus achevé de Dominique Fortier. Une fois encore, on trouvera la langue bien sage, mais l’histoire est irrésistible, triste et belle comme un blues. » ****
Tristan Malavoy-Racine – Voir
« Suivant une technique analogue à celle de la courtepointe, Dominique Fortier a construit son texte comme un savant patchwork, puis l'a surpiqué de motifs noirs et blancs qui s'entrecroisent et se fondent ensemble. C'est à ces très fines coutures témoignant de notre humanité commune qu'on reconnaît la grande littérature. »
Martine Desjardins – L’actualité
[Critique]
« Un livre délicieux, comme tout ce qu'écrit Dominique Fortier.. .»
Isabelle Richer
Radio-Canada/Le Téléjournal
« Avec autant de délicatesse que de précision, l’écrivaine donne ici forme à une étonnante et émouvante courtepointe. Autant de bandes de tissus, de couleurs et de textures différentes, qui se juxtaposent pour surprendre, émouvoir et, surtout, provoquer une réflexion riche sur l’amour, sur la trahison et, d’abord et avant tout, sur la notion même de liberté. »
Valérie Lessard – Le Droit
« C’est un coup de cœur. Il y a des images saisissantes. C’est un roman sur la liberté et l’absence de liberté. C’est tout en finesse. C’est très intelligent comment Dominique Fortier construit ses œuvres. Ça coule. Une écriture très accessible, beaucoup de sensualité, d’émotivité. »
Marie-Christine Bernard
Radio-Canada/La fin de semaine est à 7 heures
[Critique]
« Un roman qu’on déguste lentement, attentivement, pour savourer la dentelle des mots créée méticuleusement, page après page, par cette écrivaine talentueuse. Avec finesse et un sens de l’observation très aiguisé, elle sait aussi comment magnifier les sentiments humains, bons ou mauvais, dans une histoire où rien n’est jamais acquis. »
Marie-France Bornais
Journal de Montréal
« Roman poétique où se côtoient le rêve et la réalité, la grande et la petite histoire, la guerre et l’amour, le bien et le mal. »
Pascale Milot – Montréal Centre-Ville
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