Histoires d'ogres
Histoires d'ogres
Gagnon, Katia  
  • Éditeur : Boréal
  • Collection : Littérature
  • EAN : 9782764623220
  • Code Dimedia : 20052322
  • Format : Broché
  • Thème(s) : LITTÉRATURE - FICTION & ESSAI
  • Sujet(s) : Littérature québécoise
  • Pages : 248
  • Prix : 22,95 $
  • Paru le 14 avril 2014
  • Plus d'informations...
EAN: 9782764623220

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Échos de la presse

« En multipliant les chapitres courts, Katia Gagnon a donné un rythme haletant à son roman, qui se lit comme un thriller social. »
Marie-Christine Blais – La Presse +
[Entrevue]

 « Nous sommes dans un univers sombre. Un roman collé dans le réel. »
Paul Arcand – 98,5 FM/Puisqu’il faut se lever
[Entrevue - voir émission du 15 avril]

« Un roman très intéressant, inspiré de faits réels. […] Katia Gagnon soulève beaucoup de questions intéressantes. La beauté du roman, c’est qu’elle n’est pas une romancière qui prétend répondre à toutes les questions.»
Catherine Lachaussée – Radio-Canada cet après-midi
[Entrevue]
 
« On est dans le roman social. Ici, plusieurs histoires s’entrecroisent. [...] Il y a aussi une histoire de littérature à travers ces histoires sordides. Katia Gagnon est habile. Tout se tient et tout ça fait en sorte qu’on entre dans le drame profond des êtres humains. Un très beau roman. À lire ! »
Patricia Powers – Radio-Canada/Chez nous le matin
[Critique]
 
[Entrevue à Plus on est de fous, plus on lit (RC)]

« Sous la plume sensible et efficace de Katia Gagnon, la figure de l’ogre ramène inévitablement à l’enfance. […] Histoires d’ogres s’avère un confrontant thriller social. Surtout parce que Katia Gagnon n’excuse aucun de ses personnages, pas plus qu’elle ne les condamne, laissant le lecteur face à ses propres jugements. »
Valérie Lessard – Le Droit
 
« Un livre qui fait réfléchir. »
Patricia Tadros – Radio-Canada/Première heure
[Entrevue]

« Histoires d’ogres se situe un cran au-dessus de La réparation. Du point de vue de la maîtrise romanesque, de l’orchestration narrative. Les fils se dénouent un à un tout naturellement, à l’intérieur de chapitres courts, elliptiques. Le rythme en accéléré favorise l’aspect thriller. […] Katia Gagnon nous entraîne dans le sordide le plus sordide, au cœur du mal incarné. Et de la détresse sans nom. »
Danielle Laurin – Le Devoir


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