Ombres blanches (Les)
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« C’est un roman qui est aussi fascinant que Les villes de papier, mais qui est différent à bien des égards. D’abord, c’est un roman. Dominique Fortier a une écriture élégante, poétique. Encore une fois, c’est de la fine dentelle. »
Marc Cassivi – Pénélope (RC)
[Critique]
« Ce sixième roman de Dominique Fortier est un enchantement. […] Il y a une telle tendresse dans la façon dont elle décrit les choses. Un livre tendre et bouleversant. »
Ariane Cipriani – Culture club (RC)
[Critique]
« Ce qui fait la force de ce récit, le nœud, ou même l’enjeu de cette mise en scène, reste avant tout l’évanescence des choses, des relations, des êtres. Tout disparaît un jour. »
Marie Fradette – Le Devoir
[Entrevue]
« Aussi tendre, sensible et intelligent que Les villes de papier, ce récit plonge de nouveau dans l’univers de la poétesse Emily Dickinson, mais cette fois, du point de vue de celles qui lui ont survécu et qui ont cru en son talent. Un vrai bonheur. »
Joëlle Bergeron - Coup de pouce
[Entrevue dans Le Soleil]
« Bien que le roman aborde la mort et ce qu’il reste d’une personne après celle-ci, Dominique Fortier drape ses lecteurs de douceur, de lumière et de poésie. »
Léa Harvey – Le Soleil
« Cet ouvrage est une grande réussite. »
Marie-Louise Arsenault – Plus on est de fous, plus on lit (RC)
[Entrevue]
« Un pur enchantement. Ce récit brillant nous entraîne au plus près de la poésie d’Emily Dickinson, ces " feuilles traversées par la lumière ". Au plus près également de la grâce inspirée de Dominique Fortier. »
Monique Proulx – Châtelaine
[Critique]
« La lauréate du prix Renaudot de l’essai 2020 signe encore une fois un ouvrage doux et sensible, auquel on s’attache rapidement. Un livre intelligent qui a la qualité — pas si banale — de nous habiter et de nous porter longtemps. »
Léa Harvey – Le Soleil
« Prolongeant Les villes de papier, Les ombres blanches apparaît comme une méditation d’une rare profondeur sur les liens ambivalents qui unissent la littérature et la vie. »
Philippe Manevy – Lettres québécoises
« Véritable travail d’orfèvre, ce livre poursuit la réflexion de l’autrice sur la place des femmes dans l’espace créatif. »
Julie Roy – L’actualité
« Dans Les ombres blanches, Dominique Fortier reprend l’histoire là où elle l’avait laissée dans Les villes de papier, pour raconter la suite des choses. Ce fut une formidable aventure dans l’univers d’Emily Dickinson et son entourage. »
Marie-France Bornais – Journal de Montréal
[Entrevue]
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