Enlève la nuit
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« Bien qu’il aborde des états difficiles et douloureux, Enlève la nuit est un livre plein de lumière et qui réchauffe le cœur, où il est question de bonté, de bienveillance, de confiance, de dignité, d’espoir malgré les revers, de non-jugement… »
Marie Hélène Poitras – Le Devoir
[Entrevue]
« Monique Proulx a un don pour jeter un éclairage vif sur des êtres fascinants, d’hier ou d’aujourd’hui, réels ou fictifs. De ceux qu’on observe sans oser aller à leur rencontre. »
Claudia Larochelle – Elle Québec
« Avec Enlève la nuit, Monique Proulx continue de fouiller une des grandes questions de son œuvre, celle de la transcendance : dans quelles circonstances les humains parviennent-ils à offrir le meilleur d’eux-mêmes ? »
Dominic Tardif – La Presse +
[Entrevue]
« Ce nouveau roman est à lire ! »
Marie-Louise Arsenault - Plus on est de fous, plus on lit (RC)
[Entrevue]
« Tout est beau là-dedans. Il y a même des phrases consacrées à la bonté que j’ai trouvées absolument remarquables. Jolie histoire. Joli roman. Monique Proulx fait toujours des choses extrêmement intéressantes. »
René Homier-Roy – Culture club (RC)
[Critique]
« J’ai eu un gros, gros attachement pour Marcus, un être hyper sensible qui a soif d’apprendre, qui est hyper généreux. Ce que j’ai aimé dans l’écriture de Monique Proulx : c’est très subtil. C’est plein de tendresse. Il n’y a jamais de jugement. C’est beau, beau, beau. C’est vraiment à lire. »
Catherine Brisson – Puisqu’il faut se lever (98,5 FM)
[Critique]
« Un roman très bien, très réussi. J’ai adoré. Je le recommande très chaudement. L’écriture est somptueuse, magnifique. »
Josée Bonneville – Arts et lettres (Radio VM)
[Entrevue]
« Monique Proulx signe ici un ouvrage fin qui aborde des enjeux sociaux et fait réfléchir sans perdre de sa chaleur humaine. Accompagné par des quiproquos qui font sourire et un travail minutieux sur la langue, Enlève la nuit nous rappelle l’importance de reconnaître le bonheur et la chance lorsqu’ils pointent le bout de leur nez. »
Léa Harvey – Le Soleil
[Entrevue]
« Un roman magnifique qui m’a littéralement envoûté par la musique de la langue qui souffle comme une brise printanière sur la ville, ce regard qui remet tout en question sans avoir l’air d’y toucher. […] Enlève la nuit m'a bouleversé. »
Yvon Paré – Littérature du Québec
[Critique]
« Ce livre laisse l’impression puissante d’avoir été émerveillé par une fichue de bonne histoire. »
Julie Roy – L’actualité
« J’ai beaucoup aimé le récit. Comme Markus [le personnage principal] découvre la langue française à la manière d’un enfant candide et émerveillé, ça permet à Monique Proulx de jouer avec la langue, d’inventer des tournures de phrases et des expressions absolument délicieuses. Ce qui est aussi intéressant avec ce roman, c’est que Monique Proulx a fait de l’appropriation culturelle décomplexée en tout impunité et en revendiquant haut et fort le droit de parler de l’autre. C’est un roman sur la bienveillance qui n’est pas du tout dans le cynisme, la désillusion. Un super beau roman de Monique Proulx. »
Nathalie Petrowski – Pénélope (RC)
[Critique]
« Un roman qui nous fait s’interroger sur la société qui est la nôtre et sur ses valeurs à travers le regard tout à la fois candide et lucide d’un jeune homme qui a vécu à l’écart de cette société bien à l’abri au sein de sa communauté. […] Un roman magnifique, riche de sens et d’interrogations, d’humanité et plein d’humour. »
Marie-Andrée Lamontagne – Parking nomade (Radio VM)
[Entrevue]
« Qui ose parler de bonté de nos jours ? Monique Proulx le fait, dans un roman éclatant de lumière. »
Josée Boileau - Journal de Montréal
[Critique]
« Une histoire de dignité et d’espoir, roman éclaboussant de lumière, écrit dans un style vibrant et connecté au cœur.
Marie Hélène Poitras – Le Devoir
« On peut venir au monde à tout âge. C’est cette phrase à la fois toute simple et si complexe que Monique Proulx examine à travers un nouveau roman lumineux, d’une grande sensibilité, un grand appel à la liberté, Enlève la nuit. »
Marie-France Bornais – Journal de Montréal
[Entrevue]
« Markus Kohen, 20 ans, a quitté sa communauté natale ultraconservatrice pour retrouver sa liberté. […] Markus a tout à apprendre de la vie en société. Son but: apporter de la lumière aux moins nantis, leur ʺ enlever la nuit ʺ. Derrière les réflexions et les observations de ce personnage, Monique Proulx offre un portrait frappant de la ville où se côtoient misère, pauvreté et autres problèmes sociaux. »
Matthieu Dessureault – ULaval Nouvelles
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