Contre les caves
|
« Les poèmes de Byron Coley sont le distillat d’une vie passée à observer la bête – et parfois la bêtise – de l’univers des courants marginaux. Le résultat est saisissant, tout comme la traduction cosignée par Chaput et Marie Frankland. » ****
Ralph Elawani — Le Devoir
*** Il se peut que certains liens ne fonctionnent plus. Merci de nous en aviser.
NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.