Petit voleur (Le)
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« L’échange épistolaire dans lequel Iégor, un apprenti écrivain, sollicite et reçoit des conseils de son mentor Tchékhov, puis s’éloigne de ceux-ci, est un peu une métaphore dialoguée de deux générations de Québécois, celle des étudiants du Printemps québécois et celle des boumeurs. Lalonde a imaginé cet échange qui est au cœur de l’intrigue qui nous plonge dans la Russie, la Pologne, l’Allemagne et la France de la fin du XIXe siècle. »
Claude André – Métro
[Entrevue]
[Entrevue à Plus on est de fous, plus on lit (RC)]
« Le nouveau roman de Robert Lalonde, Le petit voleur, fait revivre l’époque, le style et la vie d’Anton Tchékhov. Sans volonté biographique, cependant, avec un intérêt marqué pour la relation maître-élève. »
Mario Cloutier – La Presse +
« À la fois grave et surprenant, sage et empreint de la candeur et de la fureur du jeune Iégor, ce roman ciselé d’images fulgurantes est d’un rare équilibre. Mon préféré de Robert Lalonde! »
Chrystine Brouillet – TVA/Salut Bonjour
« Il y a ce rapport maître-élève. C’est très touchant de voir qu’est-ce qu’on a à donner, à offrir, à recevoir quand on est mentor. C’est très beau. »
Claudia Larochelle – Radio-Canada/Le Téléjournal 18 h
« Après s’être glissé dans la peau de Marguerite Yourcenar (Un jardin entouré de murailles) et Flaubert (Monsieur Bovary), l’écrivain né à Oka en 1947 s’approche de l’essence du grand écrivain russe, qu’il pille allègrement pour nous offrir ce condensé de sagesse mélancolique. Quelque part entre l’exercice d’admiration et le vade-mecum littéraire, c’est aussi à un voyage existentiel singulier qu’il nous convie. »
Christian Desmeules – Le Devoir
[Critique]
« Histoire d’un rendez-vous manqué, Le Petit Voleur est surtout un vibrant hommage au grand écrivain russe et une incursion privilégiée dans le monde du mentorat littéraire, deux passions au cœur de la vie de Robert Lalonde. »
Samuel Larochelle – Huffington Post Québec
[Entrevue]
« C’est dans l’écriture que Robert Lalonde se démarque. Il y a cette mélancolie de l’âme russe qu’on retrouve dans le récit. Vraiment, c’est réussi ! »
Marc Cassivi – ARTV/Esprit critique
« Robert Lalonde s’est complètement imprégné de l’oeuvre de Tchékhov, mais aussi de celle des grands écrivains russes Maxime Gorki et Alexandre Pouchkine pour écrire ce très beau roman empreint de poésie, de portraits psychologiques, de références à la littérature, dans une ambiance de Vieille Russie. »
Marie-France Bornais – Journal de Montréal
[Entrevue]
« Robert Lalonde écrit avec sagesse. C’est un très joli roman. Un livre de chevet dans le sens noble du terme. »
René Homier-Roy – Radio-Canada/Culture club
[Critique]
[Entrevue à Première heure (RC)]
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