Play Boys
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« Ghayas Hachem a saisi très vite le pouvoir de l’écriture. Son premier coup de foudre littéraire se nomme Julien Green. Play Boys en est imprégné. On y retrouve des thématiques chères à Green : l’ironie tragique, le climat d’emprisonnement, l’enfer des relations humaines. »
Mario Cloutier – La Presse +
[Entrevue]
« Ghayas Hachem réussit à écrire un livre à propos de la guerre qui se démarque, dans un océan de titres sur le sujet. […] Play Boys fait se confronter constamment le ludisme et la réalité, tout autant que l’enfance et l’âge adulte. Mais plus on avance, plus les cloisons s’éventrent, les repères s’égarent. »
Danielle Laurin – Le Devoir
[Critique]
Et Téléjournal Montréal de 18 h : « Un premier roman fascinant. C’est la guerre vue par un enfant. Il y a quelque chose de très ludique là-dedans, mais en même temps c’est la dureté de la guerre. On découvre vraiment une plume ici. Un auteur que j’ai envie de suivre. »
« Un roman parfaitement réussi qui dissèque le germe de la haine pour étouffer le mal à la racine. »
Martine Desjardins – L’actualité
[Entrevue à Plus on est de fous, plus on lit (RC)]
« Ghayas Hachem tient dans son livre quelque chose qui surprend, qui promet. La narration est ingénieuse. Les personnages sont bouleversants. »
Noémie Doyon – Impact Campus
« Raconter la guerre du point de vue de l'enfant était pour moi la seule posture possible, dit-il, parce que j'ai connu le Liban de l'intérieur alors que j'étais enfant. Mais je voulais aussi créer un espace de rêverie, qui s'est imposé parce qu'en temps de guerre, l'imaginaire et le fantasme prennent une place importante et s'avèrent essentiels. Mais les jeux de ces deux garçons vont rapidement être assaillis par l'imaginaire de la guerre, inévitablement. »
[Entrevue à Plus on est de fous, plus on lit (RC)]
« Audacieux, brillant, à la fois très ludique et très dur, ce roman vaut à son auteur de figurer parmi les dix finalistes au Grand Prix littéraire Archambault 2015. »
Danielle Laurin – Le Devoir
« Un roman qui nous plonge dans l’horrible réalité de la guerre, mais en même temps, il reste de l’espoir, de la lumière. Vraiment, un très, très beau roman. »
Chrystine Brouillet – TVA/Salut Bonjour week-end
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